Merci pour l'accueil... [PV Eirilys]

Bon. Eirilys avait compris son impatience et l'avait mal prit. Mais elle l'avait quand même enfermé dans les cachots! Avec d'étranges créatures visqueuses qui crachaient des trucs plus dégoûtant encore... Comment sortir d'ici? Tout en évitant, souvent de justesse, leurs projectiles, il analysait la situation. Il était enfermé dans des cachots sombres qu'il ne connaissait absolument pas, avec plusieurs trucs agressifs. Au moins, toutes les heures passées en salle de musculation n'allaient pas être inutiles...
Il soupira et tenta de défoncer la porte. Ne pas paniquer, ne pas paniquer... La porte ne cédait pas... Il tenta encore et encore, mais les trucs visqueux approchaient. Il ne lui restait donc qu'une seule solution: fuir par l'autre côté!
Il prit son courage à demain et fonça en slalomant entre les bébêtes dans le noir. Les "gluants" étaient très lents, il les sema donc très vite, mais il continuait quand même de courir, juste au cas où...
Dans l'instant même, il était très satisfait de lui, et rien que pour se faire plaisir, il accéléra. C'est malheureusement ce moment là que choisit le mur de venir à sa rencontre.
Il se le prit de plein fouet, très violemment. Il fut projeté quelques mètres en arrière et tomba sur les fesses, sonné. Il s’allongea par terre, le temps que les étoiles qu'il voyait s'estompent. Il finit par se relever, et choisit d'avancer prudemment, le mains en avant.
Il déambula pendant une bonne demi-heures dans les cachots humides avant de se rendre à l'évidence: il était perdu. Fatigué, désespéré, il s'assit dot à un mur, pour se reposer. Mais sa fatigue accumulée depuis le début de la journée était telle qu'il s'endormit.
Quand il se réveilla, il avait le dos ankylosé, mais été reposé, ce "test" aura au moins servit à quelque chose... Il avait peut-être dormit des heures, ou juste dix minutes, mais comme il n'avait pas de montre, il n'en savait rien. Sans aucun repère, dans le noir et seul, il se sentait démuni et faible. Mais il était plein d'énergie et ne se laissa pas abattre, il se remit en marche.
Après ce qui lui sembla des heures, il buta sur quelque chose. Il s'écroula, mais se releva immédiatement: il était tombé sur des escaliers! Plein d’espoir, il monta exactement 36 marches avant de déboucher sur un palier. Il avança lentement et toucha un mur. Une porte peut-être... Il chercha fébrilement une poignée, sans succès.
Excédé, il s'assit.
Quand, plus tard, il se releva désespéré, il nota que le mur d'en face était différent. C'était du métal. Quel imbécile! La porte n'était pas en face des escaliers! Elle était sur la droite! Il trouva une poignée, qu'il actionna. Il soupira, soulagé: la porte s'ouvrait! Il se rua à l'extérieur, enfin libre.
Il se trouvait dans un couloir. La lumière agressive lui fit plissé les yeux, et l'air sec le soulagea. Maintenant bouillant de colère, il s’élança droit devant, en hurlant:

-EIRILYS! JE TE HAIT!

Il avait commencé a courir... Eirilys le suivait depuis son portail qu'elle déplaçait derrière lui de sorte qu'elle put le suivre. D'ailleurs, lorsqu'il traversa le champ de gluants, elle se prit une bonne dizaine de boules qu'elle put éviter juste a temps. Elle se retrouva a nettoyer le mur juste derrière elle tout en regardant ce que faisait Kaori, qui dormait d'ailleurs... Elle agita sa main devant lui, mais il ne réagit pas. Pendant quelque instant, elle eut peur qu'il se soit prit une bouboule en pleine figure... Mais elle n'en voyait aucune trace. Elle le félicita intérieurement de les avoir tout évité. Vu comme elle se prenait la moitié de ce qu'on lui envoyait a travers une fente... Elle attendit plusieurs secondes, minutes, heures. Il ne bougeait pas... Elle hésita a appeler l'infirmière, puis se rappela a quel point celle-ci devait la détesté depuis qu'elle avait failli la noyer. Elle s'allongea et attendit. Au bout de quelque instant, elle entendit Kaori bouger et se leva immédiatement et se précipita vers son portail. Il venait de se réveillé et semblait chercher une sortie. Ou un mur? Eirilys s'empêcha de rire: il venait de confondre porte et mur!

Elle ferma les yeux en attendant qu'il trouve la sortie et entendit soudainement.

"EIRILYS! JE TE HAIT!"

Pas de doute possible: soit il avait trouvé la sortie, soit il voulait se pendre. Elle le vit dans le couloir.

"Contente de voir que tu n'as pas trouvé de corde!"

Il n'allait sans doute pas comprendre, mais ce n'était pas grave. Elle réouvrit la porte et l'y poussa, elle voulais lui faire voir un seul truc: le trou géant. Ils avaient déjà retrouvé plusieurs élèves perdu dans ce truc qu'avait fait un certain chat auparavant. Elle avança jusqu'au bout et le prévint

"Evite d'y rentrer avant d'avoir trouver ton pouvoir... C'est dangereux la dedans."

Elle s'y pencha et jeta une pierre qui ne résonna qu'au bout d'une longue attente. Elle se releva et dit une phrase qui lui sembla a elle-même presque étrange:

"J'aime bien les cachots... Ca me rappelle ma fa-fa-famille..."

Elle avait trébuchée sur le dernier mots... Par réflexe elle porta les mains au cou et serra un peu. Puis elle baissa les bras...
Elle marcha jusqu'à une sortie plus proche et ouvrit la porte pour laisser passer Kaori en premier. Sans réelle dynamique dans la voix, elle lui proposa deux choix:

"On va voir l'infirmerie ou autre chose? Choisit s'il te plait. Je sais pas trop ce que j'ai aujourd'hui mais je suis un peu bizarre, je crois."

[Et je fait tout plein de joli fautes d'orthographe, dsl ^^']

-Contente de voir que tu n'as pas trouvé de corde!

Il ne répondit pas, et ferma les yeux pour tenter de calmer sa fureur. La blonde l'amena une nouvelle fois dans les cachots. Il la suivi, hésitant, redoutant un nouveaux test. Mais elle lui montra juste un gros trou dans le sol.

-Evite d'y rentrer avant d'avoir trouver ton pouvoir... C'est dangereux la dedans.

Et en plus, elle le provoquait! Il se demandait si finalement c'était une bonne idée d'être aller en pensionnat... Tous les nouveaux subissaient ça?!
Il lui répondit d'une voix moqueuse.

-T'inquiètes pas, je comptais pas retourner dans les cachots. A moins que ce soit un nouveau test, et dans ce cas là, sache que je me désinscrit sur le champ.

-J'aime bien les cachots... Ca me rappelle ma fa-fa-famille...

"Mais c'est quoi cette tarée?.." Comment des cachots pouvaient-ils rappeler de bons souvenirs?!
Il frissonna, car l'air humide était froid. Ils sortirent enfin, après quelques minutes.

-On va voir l'infirmerie ou autre chose? Choisit s'il te plait. Je sais pas trop ce que j'ai aujourd'hui mais je suis un peu bizarre, je crois.

"Ah, parce que ça m'est spécialement réservé?" Il regarda la jeune fille. Elle était vraiment gonflée!

-Je n'ai ni envie d'aller, ni envie de visiter quoi que ce soit d'autre. Je veux juste m'installer, voir mon nouveau chez moi et piquer si possible un petit somme. Ah, et j'aimerais bien savoir comment ce passent les repas ici... Ne t'inquiète pas, je demanderais ça à quelqu'un d'autre...

Kaori avisa le couloir et partit tout droit, sans savoir où ça l’amènerait. Il s'en fichait, il voulait juste aller loin de cette dingue. Et sans s'arrêter ou se retourner, il lui lança:

-Merci pour l'accueil!

Eirilys le regarda s’éloigner...
*Ne t'inquiète pas, je demanderais ça à quelqu'un d'autre...*
Elle pouvait comprendre: elle l'avait envoyer dans un cachots rempli de gluants toxique voir mortel.
Elle essayait de comprendre: elle prenait de son temps libre pour lui montrer le pensionnat, lui disait ou étaient dangereux, donc a éviter... Et elle n'avait le droit qu'a une remarque sarcastique?!
A peine un merci?! A peine un signe?! Juste une attitude hautaine et désagréable!!
Elle voyait rouge!, elle essayait de souffler, mais sa colère ne descendait pas.
Elle ouvrit une porte devant elle et une autre devant le visage de Kaori. Sans se retenir, elle shoota de toute ses forces dans la porte! Comme si ça ne suffisait pas, elle ouvrit une porte au dessus de sa victime menant vers la mer. Elle hesita une fraction de seconde: l'eau brulante des cheminée volcanique, ou l'eau glacée des iceberg?
Pas le temps de réfléchir, la colère l'emporta et elle décida d'alterner les deux, sans réellement réfléchir au possible conséquence. Toute les cinq seconde, la température montait ou chutait brutalement.
Soudain, elle arrêtât, sa colère s’était apaisée, mais elle restait de mauvaise humeur.
Eirilys utilisa la même porte que celle de l'eau pour en faire tomer une armoire pharmaceutique, suivit de ses valises et d'une pile de serviette sous laquelle elle comptait bien l'enterrer.
Elle avait croisée les bras et la regarda d'un mauvais œil.
"la prochaine fois, je ne me retient pas..."
Puis elle murmura:
"Je ne sais pas qui t'a éduqué, mais il a pas du y mettre du sien... Ou peut être qu'il y a trop mit?"
Décroisant les bras, elle réfléchie un peu. Elle venait d'attaquer un élève pour... Rien. Elle venait de péter les plombs pour... Rien! Pour rien? Rien du tout! Eirilys se baisa pour ramasser les affaires, sans oser regarder Kaori. Elle voulait pas savoir dans quel état elle venait de le mettre. L'eau bouillante, l'eau glacée, des objet lourd et dure... Elle s’enfouit le visage dans la serviette absorbant l'eau en trop qui allait couler. Une pensée éclair lui traversa l'esprit. Une de ces pensée dont on ne sait pas d'où elle viennent, ni pourquoi. Une de ces pensée qu'on n'arrive jamais a empêcher de sortir. Même si ce n'est qu'un murmure.
"De ma mère ou de moi, qui est la pire?"
Une réponse peut sembler évident a certain et pas forcement a d'autres...
Elle leva la tête, et sans vraiment regarder ce qu'il se passait autour d'elle, s'excusa.

"Excuse moi.... Je te demande pardon."

Elle continua de parler sans même vérifier si il pouvait répondre.

"Tu a besoins d'aller a l'infirmerie? Dans ce cas je pense pas que tu veuille que je t'y accompagne. Je vais chercher quelqu'un d'autre. De toute façon un élève finira bien par passer... Et casser quelque chose."

Elle regardait encore dans le vide, sans réellement penser. Mais elle savait qu'a la dernière phrase, si elle avait été toute seule, elle se serait mise a pleurer.

[Comment ca j'ai fumée du cannabis en écrivant? Retire ca tout de suite ><
...
Ah t'a pas parler?]

Kaori s'en allait dans le couloir, au hasard, en repensant à cette fille. Comment avait-elle put l’emmener comme ça dans des cachots avec des trucs visqueux dès la première heure de son arrivée dans le pensionnat? Il espérait pour les autres qu'elle n'était pas chargée de l'accueil... Il s'arrêta brusquement lorsque quelque chose apparut devant lui et qu'un pied sortit de nul part l'avait frappé au visage. Il fut secoué, mais resta néanmoins sur ses pieds. Mais ce n'était pas finit, il eut le droit à plusieurs attaques du style et finit par reconnaître les "portes" d'Eirilys. Quand elle se fut calmée et finalement une pile de serviettes tomba à ses pieds, il se tourna vers elle.

-la prochaine fois, je ne me retient pas...

-Mais, je t'en pris!

-Je ne sais pas qui t'a éduqué, mais il a pas du y mettre du sien... Ou peut être qu'il y a trop mit?

Le jeu de la provocation qui d'habitude l'amusait ne le faisait plus rire du tout. Il répondit d'une voix glaciale.

-Excuse moi, mais j'ai du mal à comprendre. J'ai été mal poli? Pourquoi? Pour mettre énervé? Mais sais tu que quand on arrive dans un nouvel endroit, remplit de personnes inconnues, on a envie de s'installer, d'être accueilli? Oui tu m'as accueilli, et tu m'as fait visiter. Et je te remercie pour ça. Mais je ne sais pas si tu fais ça à tous les nouveaux destinataire, alors peut-être suis-je tombé dans un asile de fous... Quelle idée d'envoyer quelqu'un qui vient d'arriver, qui doit s'habituer à un nouveau corps, ce qui est une expérience très perturbante, qui est fatigué par le voyage, mais quelle idée de l'envoyer dans un lieu sombre remplit de choses visqueuses et dangereuses! Comme ça! D'emblée! Et tu oses dire que je suis mal éduqué? Mais t'es tu déjà posé la question de savoir si toi même tu était polie? Eh bien je réponds: non!

Il avait haussé le ton. Et il devait être rouge de colère. Il ne savait pas si avec cette apparence il faisait peur, mais il espérait que oui.

-Excuse moi.... Je te demande pardon.

Kaori se calma instantanément. Ce n'était pas l'air malheureux d'Eirilys qui l'avait adouci, cela il s'en fichait, mais le fait qu'elle s'excuse et reconnaisse son manque de tact le toucha. Il s'approcha d'elle et lui sourit, il la prit par l'épaule.

-C'est bon, c'est oublié. Désolé de m'être emporté! J’espère que je ne t'ai pas fait peur... Mais bon, à mon avis, tu as dut en voir d'autre...

-Tu a besoins d'aller a l'infirmerie? Dans ce cas je pense pas que tu veuille que je t'y accompagne. Je vais chercher quelqu'un d'autre. De toute façon un élève finira bien par passer... Et casser quelque chose.

Il rigola à sa pointe d'humour et répondit très gentiment:

-Ne t'inquiètes pas, j'ai rien, je ne vois pas pourquoi j'irais à l'infirmerie... Et si à la place tu me montrais ma nouvelle chambre?

-Ne t'inquiètes pas, j'ai rien, je ne vois pas pourquoi j'irais à l'infirmerie... Et si à la place tu me montrais ma nouvelle chambre?

Eirilys sembla se réveiller en sursaut, de mouvement complètement paniqué a cause de son cerveau qui venait de se réveille et qui accumulait tout ce qu'on lui avait envoyer pendant sa veille. De son sursaut elle fit sauter toutes le affaires qu'elle tenait et essaya de les rattraper, mais ils ne voulaient pas et sautaient d'un main a l'autre jusqu’à ce qu'Eirilys tombe par terre tête la première. Elle se releva et ouvrit une porte de laquelle elle sortit une carte des chambres des élèves; Elle regarda pour Kaori et vit que c'etait... A l'opposé du lieu ou ils étaient. Elle roula la feuille et la mit dans la poche.

"On se dépêche? Si elle découvre que j'ai prit cette carte elle me tue..."

Pourquoi? Tout simplement parce que c'etait pas l'habituel carte qu'on distribuait au élèves, mais la carte avec tout les futur projet, et lieux secret du pensionnat. Mais ce qui intéressait Eirilys a cette carte c'est que c'etait la plus a jours de toute.

"On ne peux pas passer par mes portes parce qu'après tu ne pourra pas retenir le chemin..."

Elle prit le chemin le plus court car rien que celui là durait 20 minute de trajet. Elle ne savait même pas pourquoi.

La blonde sursauta et eut un moment de panique. Tout ce qu'elle tenait dans les mains se retrouva par terre, et elle aussi. Étonné, Kaori s'accroupi et lui tendit la main, mais elle se releva seule et Kaori l'imita. Elle ouvrit une de ses portes que Kaori admirait tant et en sortit une carte. Qui représentait visiblement le pensionnat. Elle la consulta quelques minutes et Kaori l'observa par dessus on épaule. Il eut le temps de l'étudier et en apprit une partie, au cas où. Pour lui, c'était vraiment simple, il avait une excellente mémoire géographique. Il retenait tous les chemins et il pouvait apprendre une carte en moins de vingt minutes. Elle referma et la rangea dans sa poche.

-On se dépêche? Si elle découvre que j'ai prit cette carte elle me tue... On ne peux pas passer par mes portes parce qu'après tu ne pourra pas retenir le chemin...

Il lui sourit. Finalement, elle avait l'air gentille. Spéciale, mais gentille. Et drôle.

-T'inquiètes, je ne dirait rien, et puis j'adore marcher. Surtout en bonne compagnie.

Il lui sourit une nouvelle fois et lui emboîta le pas. Il passa les premières minutes à contempler les couloirs, qui paraissaient en très bon état pour un pensionnat aussi grand. Aucun tag, aucune vitre cassée ou fissurée... Au moins, ça lui changeait de son quartier et des centres de désintoxication. A cette pensée, il soupira. Il n'oublierait jamais la plus horrible partie de sa vie, où son cerveau n'avait que deux buts: la drogue et dormir. Il grimaça. Combien d'heures avait-il passé dans la salle de sport du centre? C'était le sport qui l'avait sauvé. "Un esprit sain dans un corps sain" C'était bien vrai.

Eirilys regarda plusieurs fois la carte. Elle avait beau connaitre le chemin pour se rendre vers la chambre, mais elle ne se souvenait pas être allée aussi loin dans le pensionnat. C’était étrangement le seul endroit du pensionnat qu'elle n'avait jamais visitée. Elle s’étonna, mais dut s'y résoudre: elle n'avait aucun souvenir lié a e lieu. Elle essayait de savoir pourquoi, mais rien ne lui vint a l'esprit... Sauf peut-être... Elle se tourna vers Kairo qui n'avait pas l'air joyeux:

"Sa va?"

Elle s’était penchée pour mieux le regardé. Elle lui aurait bien demandé plus, mais ne le sentait pas... Il venait juste de lui pardonner ses extravagance de tout a l'heure, c'etait pas le moment de lui demander quelque chose de personnel.
Et justement, "sa va" était une phrase neutre a laquelle on répondait toujours oui, quel que soit notre situation. Elle regarda autour d'elle et remarqua qu'elle commençait a moins connaitre cet endroit. Elle ressortie la carte et vérifia qu'ils étaient bien au bon endroit. Mais cette fois elle ne le remis pas dans sa poche mais rouvrit sa porte et y rangea la carte adoré de... Oups! En ouvrant la porte elle se retrouva d’ailleurs nez a nez avec celle-ci. Elle se prit une engueulade qui termina au bout de 5 min et qui terminât sur un "on en reparle ce soir... Chère nièce!". Elle soupira quand sa tante fut repartie et referma la porte. Elle crut qu'elle allait avoir une crise cardiaque quand sa tante était apparue. Elle se tournât vers Kaori avec un sourire au lèvres malgré la boule au ventre que venait de lui causer l’engueulade!

"J'ai une carte du pensionnat avec ta chambre indiqué que je peux te donner."

Elle lui donna et continua son chemin... Eirilys essayait de faire abstraction de l'engueulade. Mais sa tante restait un membre de sa famille et ça lui faisait parfois un début de même l'effet qu'aurait fait sa mère sur elle! Elle avança et se souvint d'un coup pourquoi elle aimait pas cet endroit. Le seul souvenir qu'elle en avait prenait en compte un espèce de gros truc fou furieux qui s'en prenait a tout ce qui bouge et qui était pas une fantaisie. Surement pas! On avait envoyé trois membres du personnel a l'infirmerie pour ça et on ne savait même pas ou avait disparu ce truc. Elle se tourna vers Kaori un sourire forcé au lèvres et continuant de marcher en arrière.

"Je t'annonce qu'on est dans l'endroit qui me fait le plus flipper de tout le pensionnat et que si je commence a hurler, il y a deux réaction: Soit il y a rien et tu continue de marcher, soit il y a un truc et tu trace! On y a perdu l'ancien jardinier et deux gardien de nuit!"

Elle se retourna et marcha normalement, sans vraiment repenser a ce qu'elle venait de dire. Elle s’efforça de se faire croire que ce n’était qu'une histoire, mais bon... Deux gardiens et un jardinier... En en vient pas a bout comme ça!