Essuie tes pattes avant d'entrer !

"Tu vera Koge, ce pensionnat te plaira ! Et puis ça te changera, tu vera de nouvelles têtes !"

Les mots de la veille était encore fraichement gravé dans sa mémoire, le jeune homme n'avait pas oublier avec quel enthousiame sa mère lui avait vendu son nouvel abris. Seule tache au milieu de ce magnifique tableau, elle ne savait absolument rien sur la réputation de ce pensionnat. Etait-elle à ce point inssousiante pour envoyer son fils dans un endroit inconnus ? C'est ce que Koge pensait. Mais c'est seulement en arrivant devant les lieux que ses pensées prirent tous leurs sens. Quel était cet endroit...et puis, cette atmosphère tout à fait étrange qui lui mettait la chaire de poule ? Ce n'était pas vraiment que Koge soit peureux, non, il ne sentais pas cet endroit, quelque chose n'allait pas.

Faisant les cent pas devant le lieu en question, il hésitait. Ce n'est que quelques minutes plus tard qu'il se décida à scruter l'entrée...où plutôt ce qui y ressemblait. Enfait non, ça ressemblait à tout sauf à une entrée et c'est pourquoi il avait tant de mal à admettre qu'il était au bon endroit. Un dernier coup d'oeil aux alentour puis il prit son courage à deux mains et s'approcha un peu plus de ce qui était en l'endroit où aurait du se trouver LA PORTE D'ENTREE.

- J'arrive pas à croire que ce truc puisse être une porte, je veux dire...ça ressemble plutôt à un...miroir ?

Il essaya comme il pu de regarder derriere, agripant "la chose" pour essayer de le déplacer, mais rien à faire, ce "truc" était destiné à être là et à ne pas être déplacé.

- Super, et je fais quoi maintenant ? Je passe à travers ? Haha...

Il pencha soudain la tête. "Passer à travers" ? Ca avait l'air bête dit comme ça mais il ne voyait pas d'autre moyen. Aussi ridicule que cela puisse être il avait décidé d'essayer, de toute façon...Il n'y avait personne autour de lui, donc même si il se cognait ce qui allait surement lui arriver, personne n'en aurait était témoin.

C'est donc lentement qu'il avança son bras vers la surface du miroir ou il pouvait voir son image se refléter. Il l'éfleura simplement et une chose étrange se passa qui par reflexe lui fit rebrousser chemin. Une onde provenant de l'endroit ou il avait posé son doigt, s'emplifia sur toute la surface du miroir. Koge en eu quelques sueurs froides.

- Qu'est-ce que c'est que ce bordel ?

Il resta perplexe devant ce phénomène, mais il savait maintenant par où il allait devoir entrer. Il pris une grande respiration, serra dents et poignets, ferma les yeux et avança tout droit. Il senti à peine quelques frissons lui traverser le corps. Il s'arreta une fois que toutes ces sensations étranges ce soit estompé. Doucement et avec hésitation il ouvrit les yeux. Il était à l'interieur ? Il avait vraiment traverser un miroir ? Koge n'en revenait pas, le choc était beaucoup trop grand.

Il leva les yeux et scruta les environs, cette pièce dans laquelle il se trouvait maintenant avait l'air d'être un hall, cependant ce dernier était immence ! Complètement perdu et désorienté Koge ne s'apperçu même pas de l'autre présence qui se trouvait dans cette même pièce.

Komiku était contre le mur blanc et décoré dans un style baroque. Elle fermait les yeux, le casque sur ses oreilles bleues, elles même dissimulées sous une capuche à fourrure. La musique du groupe BlackMill résonnait doucement. Elle aimait ce son sans paroles, just en instrument. Une femme répétait sans cesse "I Know"... Evil Beauty. C'était le nom de la chanson. Depuis combien de temps, n'avait elle pas mit les pieds ici, dans ce pensionnat ? Ca lui paraissait long. Très long. Elle avait adoré la Thaïlande, avait même supplié sa mère d'y rester encore 1 mois de plus, mais elle devait rentrer. Son look était devenu un peu plus provocateur, et moins enfantin. Elle s'était résolue à couper ses longs cheveux qu'elle chérissait tant, au niveau des homoplates. Mais quand elle était entré, dans ce miroir aux mille facettes, ses cheveux là, bleutée, était plus grand qu'à son habitude. Elle se rappelait de sa frimousse trop mignonne, à son entrée. Se cachant sous son grand pull de laine blanc, les yeux à terre, son air si farouche qui ne lui allait pas.

- Mais tous ça est derrière Komi, ne l'oublie pas.

Elle avait dis ça à voix basse, en ouvrant ses énormes yeux bleus. Elle retrouverait se grand pull, qui cachait ses formes féminines. Ses amies qu'elle s'était fait durant le voyage l'avait donné des affaires branchées, colorés et même un peu provocant. Elle avait plus l'air d'une fille de 16 ans, maintenant. Ouvrant doucement sa valise, elle sert autour de son coup, le collier en cuir avec sa laisse. Elle l'avait acheté, au cas où ses crises de colères reprenaient, pour que quelqu'un puisse la tenir à terre, le temps qu'elle retrouve ses esprits. Elle se rappelle qu'Eya lui avait fait manger la table du réfectoire. Et la table aussi, devait s'en rappeler.

- Petit chaton deviendra grand, Kikkawa, ne l'oublie pas.

Elle se leva, enlevant se casque bleu de sa tête, le rangeant délicatement sur sa nuque. Ses baskets noirs, rose et bleus flashy, ne lui correspondait en aucun cas. Elle aimait la sobritété, mais les couleurs en ce moment, c'était son trip. Prenant son sac en bandoulière, elle entendit un bruit assez étrange. Elle fit volte face à l'entrée et vit des doigts assez bizarres, y passer. Ecarquillant les yeux, elle s'approcha, sans trop s'y risquer. Elle attendu plusieurs minutes, guêtant chaque bruit de dehors, des murs, et du silence. Puis une forme assez étrange se forma avant d'arriver en entier dans la pièce. Les yeux fermé, un garçon d'une tête de plus qu'elle apparut. Un p'tit nouveau ? Chouette. Elle attendit, pour ne pas lui brusquer la surprise, qu'il ouvre ses yeux. Premièrement il avait l'air affolé.

- Heu... Excusez moi... Vous allez bien ?

Elle plongea ses grands yeux dans les siens, qui sont de couleurs oranges. Le dévisageant, elle remarque des petites oreilles pointus et... Une énorme queue de chien se balancant dans tout les sens. Etonné, ses grandes oreilles bleues se redressait, laissant tomber la capuche sur son dos.

- Oh... Un chien...

Avec son sourire toujours un peu niais elle posa son sac part terre, posant ses coussinets sur ses hanches. Allait-il se mettre à hurler ? Ou alors à péter un câble ? Ou bien alors s'esclaffer ? Pour l'instant il ne réagissait pas. Ses vêtements colorés la fit sourire. Elle lui fait un grand sourire en penchant la tête.

- Bienvenu au pensionnat Miroir !

- Heu... Excusez moi... Vous allez bien ?

Une douce voix venait de faire émerger le pauvre Koge, toujours aussi perturbé il baissa lentement son regard pour que finalement il se pose sur...quelqu'un ? quelque chose ? Il ne savait pas vraiment ce que cela pouvait être à ce moment là. Mais une fois que la chose non-identifier se mit à bougé il compris que c'était vivant. On aurait dit une jeune fille...mais quelque chose à propos d'elle ne tournait pas rond.

Koge clignat des yeux à plusieurs reprise, puis ammenant ses mains à son visage il se les frotta comme si il était entrain de faire un rêve éveillé. C'était bien une fille chat qu'il avait devant lui ? Outre la fait qu'elle ai les cheveux bleu ce qui était déja partiellement bizarre mais expliquable, ces oreilles c'était tout sauf normal. Mais après l'épisode du miroir Koge n'était même pas plus choqué, de toute façon il l'était déja bien trop pour que ça empire. Il fit un pas en arrière sous la surprise.

- Bienvenu au pensionnat Miroir !

Koge ne s'attendait vraiment pas à ce genre d'accueil, ce pensionnat était vraiment different de ce qu'il imaginait. Il ouvrit la bouche mais aucun mot ne sorti, il était figé. Il n'en croyait pas ses yeux et pensait encore être entrain de réver. Il regarda la jeune fille chat de haut en bas, tout avait l'air normal si on ne comptait pas ses attribus félin...Mais...pourquoi ? Pourquoi avait t'elle cette aparence étrange ? Il pointa simplement du doigt la tête de la jeune fille.

- Qu-qu-qu-qu...C'est quoi ça ?!

On aurait dit qu'il avait vu un fantome, mais Koge n'arrivait pas à garder son calme, s'en était trop. Tout ça le dépassait, il ne comprennait pas où il avait attéris et surtout comment ? Il se retourna rapidement pour tenter de s'échapper, de s'enfuir de cet endroit...mais ce quil trouva dans son dos l'acheva.

- HEEEEEEE ?!!

Koge manqua de tombé dans les pommes, le reflet dans le miroire qui se trouvait devant lui...il ne le reconnaissait pas. Lui aussi avait des oreilles bizarre et une...queue ?!

- Hahaha, très drôle, vraiment...c'est très fort, je sais pas comment vous avez fait ça mais c'est vraiment très fort !

Koge ricana en aggripant "sa" queue. Il tira d'un coup sec comme pour la retiré mais...ce n'était pas vraiment une bonne idée.

- AAAAAAIE !!

Il avait mal ? Vraiment ? Il était près a retirer ses vetements pour vérifié que cette chose était bien accroché à son corps mais il repensa à la personne qui se trouvait dans son dos en l'apercevant elle aussi dans le miroir. Il se tourna à nouveau vers elle.

- Je...je comprend pas...j'était dehrs, j'ai traverser ce foutu miroir je ne sait par quel miracle et maintenant j'ai des trucs bizarre sur la tête et dans le bas du dos !

Koge s'agitait dans tout les sens en mimant chaque mot comme pour évaquer son angoisse.

- Qu-qu-qu-qu...C'est quoi ça ?!

Ca ? Les oreilles se mirent à bouger sous l'effet de l'appelle. Vue son regard, elle eu honte de son apparence. Il l'a regardait comme un fantôme, ou une bête de foire, à choisir. Elle remit sa capuche sur sa tête, expirant doucement l'air. Bon. Il paniquait. Elle allait attendre quelques instants qu'il essaye de vraiment comprendre, après elle allait sortir le kit "J'aideLesNouveauxBonjour !"

- HEEEEEEE ?!

Ce petit cris de surprise la fit sursauter. Elle n'avait pas encore de queue elle. Il tourna en rond pour sa la chopper, comme une chien un peu foufou. Il était blanc comme un linge et elle lui disait doucement de ce calmer.

- Hahaha, très drôle, vraiment...c'est très fort, je sais pas comment vous avez fait ça mais c'est vraiment très fort !

Elle soupira, pendant qu'il se tirait la queue pour sa l'arracher et hurler de douleur. Le coeur de Komi se déchira par cet appel à l'aide. Le pauvre... Elle s'approcha de lui essayant de lui faire comprendre, que c'était a peu près normal.

- Je...je comprend pas...j'était dehrs, j'ai traverser ce foutu miroir je ne sait par quel miracle et maintenant j'ai des trucs bizarre sur la tête et dans le bas du dos !

Elle ria à cause de ses gestes. Il était adorable à s'exciter comme ça, en découvrant son apparence. L'interropant dans ses mimes, elle lui saisit les oreilles et amena doucement son visage vers elle. Il se tut un instant, comme si il était figé. Elle lui gratouilla les oreilles de ses pouces tranquillement.

- D'abord, monsieur Ouah-Ouah, on ne dit pas de gros mots. Ensuite, je m'appelle Komiku Kikkawa. Tu fais donc partie du clan Heyvan. Tout comme moi. Ce que tu portes sur ta tête et ton dos, ce sont un peu comme ta vraie nature. C'est toi. Ce miroir reflète la vérité. Donc, quand tu sors, tout redeviens normal. Alors on respire, on se calme et on arrête les grossièretées !

Elle lâcha le visage du nouveau et elle ouvrit ses grands yeux bleus sur lui. Il était un peu maigrichon. Elle ne savait pas trop quoi faire de plus, à part lui faire visiter et lui expliquer. Elle prit son sac en bandoulière et farfouilla dedans. Elle en extirpa du boeuf séché qu'elle prit dans sa bouche, entre ses petites crocs. Elle en tendit un à Monsieur Ouah-Ouah.

- Aller, mange donc, ça te détendra. C'est pas empoisonné, et c'est mon péché mignon. tu devrais être content que je sois... Gentille.

Elle adorait manger ça. Depuis quelques temps, elle grignotait ça à longueur de journée, sans s'arrêter. La viande était son passe temps favori. Elle en avait ramené de Thaïlande.

Ouiiiiiii... Non. Toujours pas. C’était toujours pas le bon endroit! D'ailleurs elle était où là? A en voir la tête d'un garçon devenu tout rouge pas loin dans la pièce, c’était les vestiaires des garçons.
Prenant une intéressante couleur poivron a son tour, elle s'excusa une bonne centaine de fois en refermant sa porte.
N'empêche qu'il avait été mignon. Elle tira la langue a une personne imaginaire et se remit a ouvrir des portes devant elle.
Non. Non. Toujours pas. La précision sur l'ouverture de ses portes avait réellement diminuer ce matin.
Non. Encore non. Mais c’était pas possible!
La fissure dans le miroir devenait réellement problématique... Et cette fois sa porte s'ouvrait pile sous un pommeau de douche. Elle se prit l'eau destinée a quelqu'un d'autre en pleine figure et dut supporter un bon millier de décibel dans ses oreilles. Elle referma sa porte et en ouvrit une autre encore.
Non. Non. Y en a marre a la fin!
Elle allait finir par organiser elle-même une expédition a travers le pensionnat pour retrouver l'élément miroir défectueux!
Non. Non. Pffff...
La prochaine, c’était la bonne! Elle le sentait! La prochaine la mènerait vers le secrétariat et elle pourrait enfin déposer cette pile de papier qui pesait sur ses bras!
Non. Non. Ouaaaaaaaah!
Et cette fois elle avait même pas maîtrisée l'emplacement où elle avait voulue projeter sa porte.
Son portail avait décider de lui faire une bonne blague et de la faire tomber directement dans la Hall.
Comme par hasard il y avait des gens pour admirer sa magnifique chute depuis le plafond et le hurlement qui l'accompagnait. Durant toute la séquence où elle put savourer sa magnifique douleurs au fesse, une pluie de papier administratif s’étalait partout.

"Bon... Ben Marion: tu te d*m*rde pour récupérer ta paperasse!"

S’était-elle déclarée! Elle observa les gens qui se trouvaient dans la pièce, et devina rapidement que l'un des deux était nouveaux, qu'il avait l'apparence d'un chien et qu'elle allait rapidement péter un câble.
D'un coup, elle se leva, ecrasa quelques feuilles et ne s'empêcha absolument pas de faire sa chieuse:

"AH NON! Ca va pas être possible! J'en ai marre des Heyvan! Assez! Après les chats, le lapin et le canard, on se tape un chien! Cette fissure va me rendre folle! "

Elle souffla quelques instants avant de se rattraper un peu:

"Bon... C'est peut-être pas la fissure... Et vous n'y êtes pour rien.N'empêche que ca m'enerve un peu."

Elle continua de les détailler.

"J'espère qu'elle t'as tout expliquer, parce que moi, là, j'ai rien envie d'expliquer."

Puis, comme si il ne s’était rien passé. Comme si elle n’était jamais tombée du plafond a travers un porte bizarre. Comme si il n'y avait aucun papier par terre. Elle prit un sourire gentil et se présenta:

"Eirilys Obola. Vous vous appelez comment?"

Le jeune homme eu un hoquetement de surprise lorsqu'elle saisit sa nouvelles paire d'oreilles. Ce n'étais pas désagréable, loin de là, il ne s'y attendais juste pas. Ce geste l'avait un peu calmé et la regardait dans les yeux, il était prêt à écouter ce qu'elle avait à dire.

- D'abord, monsieur Ouah-Ouah, on ne dit pas de gros mots. Ensuite, je m'appelle Komiku Kikkawa.

Elle s'appellait donc Komiku ? Il trouva que ce nom lui allait plutôt bien. Cependant elle avait l'air d'avoir du caractère, elle avait d'ailleurs pris en mains le fil de la conversation.

- Tu fais donc partie du clan Heyvan. Tout comme moi. Ce que tu portes sur ta tête et ton dos, ce sont un peu comme ta vraie nature. C'est toi. Ce miroir reflète la vérité. Donc, quand tu sors, tout redeviens normal. Alors on respire, on se calme et on arrête les grossièretées !

Le clan Hey...van ? Koge ne comprennait pas vraiment les explications de Komiku, mais il n'avait pas vraiment d'autre choix que s'y faire. Présenté comme ça...ça voudrait dire qu'il allait devoir garder cette apparence. Mais Pourquoi un chien ? Sa vrai nature ? Koge était un chien ? Cette idée ne lui plu pas vraiment...Une chose le rassura tout de même, si il sortait de cet endroit, il pourrait retrouver son apparence normal.

Soudain elle sortit de son sac ce qui semblait être de la nourriture, en tout cas elle en mit un dans sa bouche et commença à la mordiller, donc c'était forcement commestible. D'ailleurs elle en tendis un à Koge.

- Aller, mange donc, ça te détendra. C'est pas empoisonné, et c'est mon péché mignon. tu devrais être content que je sois... Gentille.

Il hésita et finalement saisit le morceau qui de plus près ressemblait à un bout de viande. Il le mit en bouche et à sa surprise, ce n'était pas mauvais du tout ! Mais il le retira bien vite.

- Mais ! ça veut dire que je vais rester comme ça ?! Je veux dire...

Il regarda vers la bas puis balança sa queue et finalement se retourna encore une fois vers le miroir. C'était une sensation bizarre que de pouvoir bouger ses oreilles et si il n'avait pas senti jusqu'à maintenant cette chose pendante accroché dans son dos, apprésent oui. Il pencha la tête en se contemplant dans le miroir.

- C'est...

Il marqua un temps. Hypnotisé par les balancement de sa propre queue.

- C'est plutot mignon enfait !

Il sourit un peu étoné par sa réaction, mais il le pensait vraiment. Mais un bruit sourd interrompa son auto-critique. Il tourna la tête sur le coup, pour appercevoir à terre, une autre fille. Celle ci n'avait pas d'oreilles, ni de chat, ni de chien, ni d'aucun autre animal. C'était presque un soulagement pour Koge de se rendre compte qu'elle avait l'air d'être "normale".

- AH NON! Ca va pas être possible! J'en ai marre des Heyvan! Assez! Après les chats, le lapin et le canard, on se tape un chien! Cette fissure va me rendre folle!

Les poils de Koge s'hérrissèrent, elle avait l'air d'en avoir après lui alors qu'il venait tout juste d'arriver.

- Bon... C'est peut-être pas la fissure... Et vous n'y êtes pour rien.N'empêche que ca m'enerve un peu.

Elle semblait se calmer un peu. Bon, il n'avait finalement rien fait de mal, à cette pensé il eu un leger soulagement.

- J'espère qu'elle t'as tout expliquer, parce que moi, là, j'ai rien envie d'expliquer.

Oui, il l'avait bien compris, elle n'avait pas l'air de vouloir discuter...et puis, surtout si elle allait devoir ramasser tout ces papiers étaller un peu partout dans sur le sol.

- Eirilys Obola. Vous vous appelez comment?

Koge connaissait maintenant le nom des deux jeunes filles, il était tant qu'il se présente à son tour. Il baissa les oreilles avant de prendre la parole.

- Hm...Je m'appelle Koge~inu...je voulait dire Koge..~inu...Bref ! Kogeinu Nanbu !

Pourquoi est-ce qu'il n'arrivait simplement pas à dire son nom correctement ! Ce nom là était ridicule ! Il rougit sur le coup un peu perturbé et ne sachant que dire de plus pour qu'elle ne pense pas que ce soit son véritable nom. Il soupira alors se grattant la tête...

- Haha...ha...

- Hm...Je m'appelle Koge~inu...je voulait dire Koge..~inu...Bref ! Kogeinu Nanbu !

Il avait eu du mal à articuler son prénom. Komiku trouvais ça mignon. Lui aussi, allait surement sortir des petits japements ou des abboiments, comme elle miaule et feule. Il ria nerveusement. Le petit chat sourit gentiment à Eirilys. Quelle beau nom... Elle laissa tomber son sac et ramassa la paperasse qui s'était étalé par terre.

- Je m'appelle Komiku Kikkawa. Mais on m'appelle très souvent Komi, et je préfère.

Elle tendit les papiers un peu désordonnés à Eirilys pour qu'elle les tasse dans ses bras. Elle était entré de façon... Perturbante. Et elle s'était écrasée en beauté ! C'était surement ça son pouvoir. Komi remit en place ses oreilles en le secouant, passant doucement sa langue sur ses coussinets.

- Jolie chute. Et c'est assez dingue comment tu t'es écrasé. Je présume que c'est ton pouvoir.

Après avoir discuté longtemps avec Kaori dans la salle des miroirs, elle s'était aperçu que son pouvoir était son attractivité étonnante. En un coup d'oeil, elle pouvait charmer un troupeau d'éléphant pour qu'ils obéissent au doigt et à l'oeil. Elle trouvait ça assez drôle. Mais ne maitrisant pas bien son pouvoir, elle évitait de trop penser à ça. Tendant un morceau de viande à Eirilys, elle n'était pas sur qu'elle accepterais.

- Il est nouveau, il vient d'entrer. Je lui faisais une visite de bienvenu, si il accepte !

Avec une joie dans la voix, elle se mit à rire. Son petit numéro de mime l'avait beaucoup amusé. Komi le regarda une dernière fois avant de retourner son attention sur Eirilys.

- Qu'est ce que c'est toute cette paperasse, fille au cheveux d'or ? Et tu parlais d'une fissure ?

Komiku se mit par terre, en tailleur se grattant goulument les oreilles aux jambes de l'autre jeune fille. C'était un instinct, une sorte de réveille qui voulait toujours sortir. Elle devait être un chat, comme un chien courrait derrière une balle. Avec amusement, elle se remit à rire, en pensant qu'elle pourrait bien s'amuser avec Koge.

- Hm...Je m'appelle Koge~inu...je voulait dire Koge..~inu...Bref ! Kogeinu Nanbu ! Haha...ha...

A voir la tête qu'il faisait il avait pas l'air très content... En fait, il avait carrément l'air crétin. Eirlys soupira et entendit rapidement la fille donner son nom: Komikku. Précisant qu'elle préférait Komi...
Ben elle préférait Komi si elle voulait, mais Eirilys ne lui ferait pas ce plaisir... Enfin peut-être que si finalement. Komi c’était plus facile a prononcer. Et pour le nom de Kogeinu... Koge aurait été plus simple mais il n'avait rien préciser a propos d'un surnom, alors elle prononcerais ce nom compliqué complètement...

Eirilys vit la fille se pencher et ramasser toute les feuilles de la salle avant de les lui donner. Elle la regarda d'un air désolé, car elle devrait bientôt défaire ce labeur que venait de fournir Komi.
Elle éparpillerais bientôt toute les feuilles de nouveaux dans la salle et informerais Marion qu'elle devrait toute les ramasser.

- Jolie chute. Et c'est assez dingue comment tu t'es écrasé. Je présume que c'est ton pouvoir.

Celui de se casser la gueule ou celui d'ouvrir des portes a travers les quelle elle arrivait a tomber? Parce qu'il y avait une grosse différence entre ces deux truc, hein! La fille lui tendit un morceau de viande séché qu'elle prit sans rien dire.
Ca... C’était sa soeur qui lui en avait offert... Trop malade pour le manger elle même.
Eirilys regarda plusieurs minutes durant le morceau, sans vraiment penser a quelque chose. Le regard vide.
Entre-temps elle entendit komi blablater un truc a propos du nouveaux et semblât presque se réveiller.

*Pas penser! Pas penser! Pas penser! Ou tu va faire un dépression devant tout le monde!*

Elle regarda les deux autres et leur sourit avant de manger le morceau de viande. La fille se mit a rigoler toute seule... Eirilys la regarda longuement avant de secouer la tête.

- Qu'est ce que c'est toute cette paperasse, fille au cheveux d'or ? Et tu parlais d'une fissure ?

Fille aux cheveux d'or? C’était très pompeux ça! Beaucoup mieux que Blondie ou la blonde! Il y avait tout de même pas mal de chose qu'elle partageait avec sa mère. Dont surement le fait qu'elle aimait les compliments. Elle dirait ce qu'elle voudrait, reagirait comme elle voudrait, mais elle aimait les compliments! Et elle ne manquerait pas de rendre service a cette fille.
Toute ces arrières pensée... Parfois elle s'en rendait même pas compte.
La fille s’était mise en tailleur et frottait contre les jambes d'Eirilys. Bah elle qui n'avait jamais eu d'animal de compagnie... Les rats ça comptait pas!

"Cette paperasse c'est ce qui va me permettre de lacher ma mauvaise humeur sur quelqu'un. Tu veux voir?"

Elle ouvrit une porte, réussissant enfin a maîtriser a peu près son pouvoir *pas trop tôt!* pensait-elle. Elle jeta toute les feuille a travers la porte s'assurant que tout tombait partout dans l'autre pièce et allait ajouter quelque chose quand sa porte explosa. Tout bonnement.
Eirilys toussa un peu: c’était nouveaux ça... Encore cette superbe fissure.

"Et la fissure si tu veux savoir c'est... CA!"

En parlant elle avait avancée jusque vers le miroir et shooter dans la fissure qui apparaissait.

"En gros, depuis qu'elle est là, y a tout qui dec*nne! A n'importe quel heure de la journée ou de la nuit, on peut retrouver son apparence extérieur, parfois mélangée a celle du reflet. On peu aussi avoir les pouvoirs qui bug, ce qui donne chez moi des portes explosive et qui décident de s'ouvrir aux mauvais endroits... Ce qui a donné la chute de tout a l'heure..."

Elle les regarda et pencha la tête, se murmurant presque a elle même:

"Et pourquoi je vous raconte ma vie au fait?"

- Jolie chute. Et c'est assez dingue comment tu t'es écrasé. Je présume que c'est ton pouvoir.

En effet Eirilys venait de tomber du plafond, encore une fois, tout ça était trèèèès normal pour Koge. Il se dit que plus il allait passé du temps dans ce pensionnat, moins il sera impressioner par ce genre de tours. Cependant...Lui n'avait l'air de rien pouvoir faire d'aussi spécial, seul son apparence avait changé...si on oubli cette furieuse envie de machouiller un os. Il se perdi dans ses pensées et perdu le file de la conversation. Il revient à lui lorsqu'elle donna un coup de un des miroir.

- En gros, depuis qu'elle est là, y a tout qui dec*nne! A n'importe quel heure de la journée ou de la nuit, on peut retrouver son apparence extérieur, parfois mélangée a celle du reflet. On peu aussi avoir les pouvoirs qui bug, ce qui donne chez moi des portes explosive et qui décident de s'ouvrir aux mauvais endroits... Ce qui a donné la chute de tout a l'heure...

Il apperçu la fameuse fissure, même si il ne savait pas trop pourquoi elle était là et pourquoi à cause d'elle tout était sans dessus dessous dans cet endroit. C'était un peu trop compliqué pour lui qui vennait d'arrivé. Il esperait juste que cette fissure n'ai pas de répercution sur lui.

Komi était parterre, adoptant un comportement félin, ce qui fit sourir Koge mais bien vite il pensa que lui aussi risquait d'avoir ce genre de problème à l'avenir. Il essairait donc de faire tout ce qu'il peut pour retenir ses "pulsions" animales. Il se gratta doucement le crane ne sachant que dire. Puis il se décida à ouvrir la bouche.

- Ce doit être difficile quand on a l'habitude que tout fonctionne comme on le désire...

Cependant c'était plutôt amusant de la voir s'énervé pour une chose pareil, c'est sur que n'importe qui aimerait avoir un tel pouvoir, même déréglé. Le fait qu'elle soit en colère de ne pas pouvoir le contrôlé, c'était drôle. Mais ! Il ne fallait pas se mettre les gens à dos. C'est pouquoi Koge se retint de rire.

- Enfin peu importe ! Cet endroit me plait même si il reste quelque peu effrayant...J'aimerai bien y rester un moment...bien que je ne soit pas très sûr d'arriver à m'habituer à tout ça...et puis, c'est pas dangereux tous ces pouvoirs ? Surtout si cette histoire de fissure perciste...?

Koge s'inquiétait pour sa peau, pour ce qui est des portes explosives...et puis...il ne savait pas vraiment ce qui se cachait d'autre dans se pensionnat...Peut-être bien quelque chose d'encore plus dangeureux.

- C'est pas que je sois peureux...mais bon, tout ça m'a l'air bien dangeureux !

- En gros, depuis qu'elle est là, y a tout qui dec*nne! A n'importe quel heure de la journée ou de la nuit, on peut retrouver son apparence extérieur, parfois mélangée a celle du reflet. On peu aussi avoir les pouvoirs qui bug, ce qui donne chez moi des portes explosive et qui décident de s'ouvrir aux mauvais endroits... Ce qui a donné la chute de tout a l'heure...

Komi s'écarta doucement d'Eirilys. Le jeune chat détestait les gens aux émotions fortes. Ca passait dans son corps entier et la mettait en frustration. Koge avait du sentir aussi, les animaux chiens-chats ressentaient toujours les sentiments. Elle se releva, un peu honteuse de son geste. Au moins, Eirilys avait son odeur coller au jean, et personne d'autre viendrait s'y frotter.

- Ce doit être difficile quand on a l'habitude que tout fonctionne comme on le désire...
Enfin peu importe ! Cet endroit me plait même si il reste quelque peu effrayant...J'aimerai bien y rester un moment...bien que je ne soit pas très sûr d'arriver à m'habituer à tout ça...et puis, c'est pas dangereux tous ces pouvoirs ? Surtout si cette histoire de fissure perciste...?

Komiku le regardait parler sans s'arrêter. Elle se demandait même, comment il faisait. Elle bailla lourdement. Minute.

- Eirilys, ça veut dire que je peux retrouver mon apparence en gardant mes oreilles de chats ? Ou même, si j'essaye de sauter sur une étagère, je vais me retamer ? Eh ... Crotte.

Ses heures de sommeils allait être perturbé. Et son cycle de faim aussi. Elle soupira, s'adossant au mur blanc. Elle machonnait sans ménagement son bout de viande séché? Ecoutant les bruits du pensionnat.

- C'est pas que je sois peureux...mais bon, tout ça m'a l'air bien dangeureux !

Komiku sortit son sourire mielleux en s'approchant du garçon à quatres pattes.

- Oh, il n'y a pas que nous dans ce pensionnat très cher Kogeinu. Il y a même pire que ça. Des monstres que tu n'oses pas t'imaginer...

Elle se rappelle la fois ou Chess l'avait sauver de cet abominable poisson géant puant aux longues dents acérés. Elle avait toujours cru que seul les requins avaient trois rangés de dents. Désormais, elle le niait. Et en repensant à tout ça, elle s'était mise à caliner sans ménagement l'autre chat. Komi s'empara des oreilles de Koge dans ses mains et les tira doucement, approchant ses lèvres.

- Il ne faut jamais être seul, petit Koge, tu te ferais manger par le grand méchant loup.

Komi s’écarta d'Eirilys après qu'elle eut piqué sa micro-crise. Et le chien se gratta le crane, semblant hésiter a dire quelque chose.

- Ce doit être difficile quand on a l'habitude que tout fonctionne comme on le désire...

Eirilys resta bouche-bée... Que tout fonctionne comme elle le voulait?! Mais rien ne fonctionnait comme il fallait! Déjà, son pouvoirs: elle avait fait tellement d'erreur de manipulation qu'elle pouvait prétendre a une place dans le livre des records!
Et rien qu'au niveaux de l'organisation des lieux, rien qu'au sommet il y a quelque chose qui cloche: c'est elle qui fait tout a la place de la vieille!
Bon... Depuis le temps qu'elle s'en plaint et ne fait rien. Aussi, la directrice lui avait rendue un énorme service en l'hébergeant. C’était aussi le seule moyen pour elle de rester a peu près dans la société, et ce pensionnat signifiait tout pour elle.
Autant de raison qui la poussaient a faire tout ça.

- Enfin peu importe ! Cet endroit me plait même si il reste quelque peu effrayant...J'aimerai bien y rester un moment...bien que je ne soit pas très sûr d'arriver à m'habituer à tout ça...et puis, c'est pas dangereux tous ces pouvoirs ? Surtout si cette histoire de fissure perciste...?

Cette remarque fit sourire Eirilys... Quelque part, c’était logique aussi: lorsqu'on sait que n'importe quel personne peut vous carboniser en moins d'une seconde on a tendance a se tenir tranquille! Et si en plus un petit problème dans le passage peut tout faire disjoncter, on stress.

- Eirilys, ça veut dire que je peux retrouver mon apparence en gardant mes oreilles de chats ? Ou même, si j'essaye de sauter sur une étagère, je vais me retamer ? Eh ... Crotte.

Elle acquiesça de la tête.

- C'est pas que je sois peureux...mais bon, tout ça m'a l'air bien dangereux !

Dangereux? Non... A peine! Mais avant même qu'elle n'ait put répondre a cette remarque, Komi s'approcha et décida de faire peur au pauvre.

- Oh, il n'y a pas que nous dans ce pensionnat très cher Kogeinu. Il y a même pire que ça. Des monstres que tu n'oses pas t'imaginer...


Ooooooh oui! Oh que oui! Tout était mortel ici! Surtout les cachots en fait... Elle regarda Komi murmurer quelque chose a l'oreille de Koge pour le clou du spectacle.
Eirilys décida de lui donner un petit coup de pouce histoire de s'amuser un peu. Elle sentait que pour ce petit coup elle ne devrait pas trop perdre le contrôle de son pouvoir.

"Il ne faut jamais être seul, petit Koge, tu te ferais manger par le grand méchant loup."

Pile a la fin de la phrase, Eirilys ouvrit une porte juste au dessus de Koge laissant lentement descendre un des fameux poisson de l'horreur du cachot.
Honnêtement? Pour elle ça valait tout les bout qu'on ait jamais put lui faire.

Plus tard, elle répondit enfin a la question de Kogeinu

"Ce n'est pas si dangereux que ça par rapport au autres pensionnaire. Puisque tu a toi même des pouvoir pour te défendre. On peut aller voir dans les cachots si tu veux. Il y a pas mal de bébête sans cerveau ni conscience prêt a te sauter dessus et a te brûler. Ou a t'exploser dans la figure. Il me semble que ça mute vite ces machin."

- Oh, il n'y a pas que nous dans ce pensionnat très cher Kogeinu. Il y a même pire que ça. Des monstres que tu n'oses pas t'imaginer...

C'est bien ce que Koge redoutait, cet endroit était loin d'être sûr à en entendre les dire de la fille chat. Pourtant tout cela avait un côté amusant, et puis il n'avait pas vraiment envie de retrouver sa pauvre vie monotone. Ici on ne jugerai pas sa façon de voir le monde ni son exentricité. Soudain Komi s'approcha faisant legerement reculer Koge. Elle était vraiment imprévisible celle là. Elle aggripa une nouvelle fois l'oreille de Koge, qu'est-ce qu'elles avaient de si spéciales pour vouloir les attraper comme ça à chaque fois ? Puis elle vint lui susurer quelque chose qui ne rassura pas Koge.

- Il ne faut jamais être seul, petit Koge, tu te ferais manger par le grand méchant loup.

Koge déglutis difficilement, il risquait donc pour sa vie ici ? Les deux jeunes filles n'avaient pourtant pas l'air inquiettes, suremment habituer à vivre dans cette atmosphère...

Une porte s'ouvrit au dessus de Koge, laissant s'échapper une monstruosité comme il n'en avait jamais vu auparavant, c'était moche, visqueux et surtout dangereux. Encore un tour de "la portière". Est-ce qu'elles allait lui infliger cette scéance de bizutage encore lontemps ? Etait-ce là une sorte de test ? Si il resistait il serait digne de faire parti des leurs ? Comme pour éviter d'avoir à "affronter" cette horreure de poisson...Il se décala de façon à se retrouver derriere Komi.

- Ce n'est pas si dangereux que ça par rapport au autres pensionnaire. Puisque tu a toi même des pouvoir pour te défendre. On peut aller voir dans les cachots si tu veux. Il y a pas mal de bébête sans cerveau ni conscience prêt a te sauter dessus et a te brûler. Ou a t'exploser dans la figure. Il me semble que ça mute vite ces machin.

Il leva la tête, l'air inquiet, vers Eirilys.

- J'ai des pouvoirs...? Comment je sais que j'en ai ? Et puis pourquoi tu veux m'enmener dans les cachots si c'est dangereux là bas ?!

Il plissa les yeux.

- Tu veux que je me fasse manger c'est ça...?

- J'ai des pouvoirs...? Comment je sais que j'en ai ? Et puis pourquoi tu veux m'enmener dans les cachots si c'est dangereux là bas ?!

Tu veux que je me fasse manger c'est ça...?

Komi commençait à apprécier de plus en plus Eirilys. Sa façon de vouloir faire peur à Koge l'avait fait remonter dans l'estime du chaton ! Elle secoua ses oreilles bleues, et souris, en voyant que Koge se cachait un peu derrière elle. Elle l'aimait plutôt bien lui aussi. Il était assez drôle !

- Oui des pouvoirs. Tu sais, X-men truc comme ça. Bon ça peut être très embêtant mais bon ! Moi ça me dit bien d'y retourner. Un petit peu de poisson me ferais pas de mal. Et il faut que je me défoule. T'es sur que ça te tente pas Koge-inu ?

Elle se moquait un peu de lui, mais c'était avec douceur, et gentillese. De toute façon, Eirilys et elle même pourrait facilement le protéger. En un coup de cil, elle pouvait faire tomber n'importe quel monstre.

- C'est moi qui te mangerais en première oui ! Alors personne ne te toucheras !

Elle se retourna, et mit sa patte sur son épaule avec un rire rauque. Elle essayait de faire peur, mais sa douceur et son tact à parler au gens ne donnait pas cette impression.

Il avait l'air inquiet... Cette panoplie de regard... L’inquiétude, la souffrance, la tristesse... Elle les connaissait par coeur. Son inquiétude était superficielle. Pas réel.

- J'ai des pouvoirs...? Comment je sais que j'en ai ? Et puis pourquoi tu veux m'enmener dans les cachots si c'est dangereux là bas ?!

Euh... Eh bien... Bonne question? C’était presque si un petit sentiment de culpabilité la prenait.

Tu veux que je me fasse manger c'est ça...?

Ça la fit rire. Il ne lui en voulait pas. Ouf! Ca la faisait vraiment rire: ça faisait longtemps.

- Oui des pouvoirs. Tu sais, X-men truc comme ça. Bon ça peut être très embêtant mais bon ! Moi ça me dit bien d'y retourner. Un petit peu de poisson me ferais pas de mal. Et il faut que je me défoule. T'es sur que ça te tente pas Koge-inu ?

X-men? C’était quoi ça? Elle fit remarquer a Komi de l'epargner avec ce genre de truc parce que c’était comme-ci elle venait de mars... Elle ne connaissait pas beaucoup de chose.

- C'est moi qui te mangerais en première oui ! Alors personne ne te toucheras !


Ils étaient marrant: c’était agréable... Elle se laissa tomber dans un fauteuil et avec un grand sourire essaya de rassurer Kogeinu, tout en l’enfonçant un peu:

"Tu a raison. Il se peu tout a fait que tu ne puisse utiliser aucun pouvoir, et que la chose qui ait changée en toi soit ton apparence. Mais les morsure de chien ça doit faire mal, non?
Au pire on te protège."

Elle s'amusa avec une minuscule porte autour du doigts et eu un petit sourire mauvais. Elle ne put s'empêcher de rajouter:

"A moins que la fissure décide d'annuler nos pouvoirs alors qu'on y est. Dans ce cas ce serait problématique..."

Elle se retint de rire...

- C'est moi qui te mangerais en première oui ! Alors personne ne te toucheras !

Plus la conversation avançait et plus Koge était inquiet. Pourquoi avaient-elles si envie d'aller dans les cachots alors qu'elles savaient mieux que lui ce qui s'y trouvait ? De toute façon Koge n'allait pas les suivre si elles decidaient vraiment d'y aller. Il ne voulait pas gacher cette première visite dans son nouveau pensionnat avec ce genre de truc effrayant. C'était hors de question.

- Tu a raison. Il se peu tout a fait que tu ne puisse utiliser aucun pouvoir, et que la chose qui ait changée en toi soit ton apparence. Mais les morsure de chien ça doit faire mal, non?
Au pire on te protège.

Il ne comptait pas mordre ces choses...Chien ou pas, il restait quand même lui même c'est à dire un être humain. Jamais il ne s'abaisserait à ce genre d'acte barbare.

- A moins que la fissure décide d'annuler nos pouvoirs alors qu'on y est. Dans ce cas ce serait problématique...

Cette dernière phrase d'Eirilys avait confirmé ses pensées. Jamais il ne poserait un pied dans les cachots. Comment avaient-elles réussi à s'habituer aussi bien à cet endroit, cela restait un mystère, mais une chose était sûr, il n'en fera pas de même.

- Je n'ai pas vraiment envie de plomber l'ambience ou de vous couper dans votre élan mais...ça me tente vraiment pas d'aller frapper des poissons mutants dans les cachots...

Koge était plutot mal à l'aise et ça se sentait...Mais il ne savait pas comment se sortir de cette situation sans un petit effort.

- Cela dit, je vous retiens pas, hein ! Allez y et puis...amuser...vous bien...enfin si c'est sencé être amusant.

Déçu par la réponse de Koge, Komi reculait, le dévisageant. Il avait assez raison. Mais pas très courageux, ce chien-chien.

- Je paris qu'un os te ferais pas changer d'avis. Bien. Si tu as besoin de visiter, ou même autre chose, je suis la, petit Koge. Et...

Elle fit sa petite mine de chaton malicieux en lui tirant la langue.

- ... J'entend tout.

Elle secoua ses oreilles bleues, en lui faisant un clin d'oeil. Elle prit son sac sur l'épaule et se retourna vers Eirilys.

- C'est moins drôle si on peut pas lui flanquer la trouille de sa vie. Si tu as besoin de quoi que ce soit Eirilys, je suis là. J'entend tout, tu le sais.

Elle avait besoin de se retrouver seule, quelques minutes. Respirer. Penser. Recommencer. Elle mit son casque sur ses oreilles, mettant sa grosse capuche sur son crâne. Elle attendait que quelqu'un la congédie, manière que sa mère lui avait apprise.

- Je n'ai pas vraiment envie de plomber l'ambience ou de vous couper dans votre élan mais...ça me tente vraiment pas d'aller frapper des poissons mutants dans les cachots...

Eirilys pouffa: après ce qu'elles venaient de raconter et le bizutage qu'elles venaient de lui faire subir ça ne l’étonnait pas!

- Cela dit, je vous retiens pas, hein ! Allez y et puis...amuser...vous bien...enfin si c'est sencé être amusant.

Non... C’était pas amusant! Encore, les poisson, elle savait d'où ils sortaient! Mais les truc gluant et puant... Surement un pensionnaire qui avait mal calculé une expérience chimique!
Komi indiqua au pauvre Koge qu'il pouvait venir la voir et repeta la même chose a Eirilys:

- C'est moins drôle si on peut pas lui flanquer la trouille de sa vie. Si tu as besoin de quoi que ce soit Eirilys, je suis là. J'entend tout, tu le sais.

Oh que si elle pouvait! Elle pouvait très bien lui flanquer la trouille si elle le voulait! D’ailleurs, ce serait très simple: ouvrir une petite porte au dessus de lui, et...
Waaaah! Sans s'en rendre compte elle était trop remontée dans son fauteuil et l'avait fait tomber en arrière. Le temps de s'en rendre compte elle avait juste le temps d'avoir un petit réflexe et éviter de tomber avec le crane contre le carrelage.
Elle se releva avec une magnifique douleur dans le dos et grimaça.

"C'est noté: je reste assise normalement dans un fauteuil!"

Elle regarda Kogeinu et s'excusa de sa chute.

"Tu sais, les poissons ne font que peur de leur apparence ou quand ils ont vraiment trop faim... Et honnêtement c'est ma faute: j'ai par réflexe déversée une mer dans le sous-sol du pensionnat."

Elle avait fait très fort a l’époque! D’ailleurs, elle ne se souvenait même plus de ce qui lui avait fait faire ça...

"Ce qui pourrait réellement être dangereux ce serait éventuellement les masse verte et gluante qui sautent dessus et te rongent la peau. Ils doivent être en acide. On m'a dit que certains explosaient aussi d’ailleurs. Ca n'empêche pas la directrice de laisser cet endroit libre d'accès!"

Elle vérifia une nouvelle fois si ses articulations étaient encore en état et avança un peu. Demandant si il avait besoin de quoique ce soit.
Elle avait tout fini pour une fois et voulait en profiter.

C'était impressionant de voir à quel point elles mettaient tout leur entrain à essayer d'éffrayer Koge avec leurs histoire de monstres caché dans les cachôts, chose qui marchait très bien d'ailleurs. Si il devait rester ici et bien jamais il n'irait faire un tour dans les cachôts, c'était aprésent certain. De toute façon, même sans savoir tout cela, pour qu'elle raison irait il dans un endroit pareil ?

- Je paris qu'un os te ferais pas changer d'avis. Bien. Si tu as besoin de visiter, ou même autre chose, je suis la, petit Koge. Et...

Non, pas même un os c'était bien vrai. Cependant il n'avait rien contre une petite visite des lieux histoire de ne pas se perdre...Il aurait tout d'abord voulu déposer ses affaires quelque part, une valise remplite de CD/Micro et autre aparreil d'enregistrement, ça pesait assez lourd. Quand il avait appris qu'il allait passer le plus clair de son temps en dehors de chez lui il s'était empréssé de réunir son "matériel de survie".

Cependant il réfléchit, est-ce que suivre Komi était une bonne idée ? Après ce qu'elle venait de dire à Eirilys il hésita fortement à lui demander la moindre petite aide. A coup sûr elle l'aurait embarqué dans les cachôts sans qu'il ne s'en rende compte. Non, il allait se débrouiller seul,comme toujours il a fait.

Il eu un petit sursaut lorsque de Eirilys...tomba avec le fauteuil, il se retint de rire sachant que ça la vexerai suremment. Après tout, les filles étaient assez suceptibles et il vallait mieux ne pas les énerver. Elle se repris ensuite et ajouta quelques précision sur les monstres des cachôts, précisions dont Koge aurait parfaitement pu se passer. On lui proposa encore de l'aide et sur un coup de tête il tenta quand même sa chance, espérant que cette histoire ne se finisse pas mal pour lui.

- Ben...disons que j'aimerai bien pouvoir poser mes affaires quelque part. Même si j'hésite encore à rester ici avec toutes les choses horribles que vous venez de me décrire...Mais j'ai retenu la leçon ! Je ne m'approche ni des cachôts...ni des autres pensionnaires !

Il souria bêtemment.

- Ben...disons que j'aimerai bien pouvoir poser mes affaires quelque part. Même si j'hésite encore à rester ici avec toutes les choses horribles que vous venez de me décrire...Mais j'ai retenu la leçon ! Je ne m'approche ni des cachôts...ni des autres pensionnaires !

Oh c’était bon! D'accord, il y avait des pensionnaire dangereux et qu'il valait mieux éviter. Mais sinon les monstres ne sortiraient jamais des cachots. Elle pouffa et se rapprocha de Kogeinu, prenant sa valise. Elle ouvrit une porte et en sortie un plan du pensionnat avec la listes des chambres non-prise. Il y avait encore de la place a divers endroits.

Elle avança vers le couloir portant la valise a bout de bras. Quand elle montrait un endroit a quelqu'un, elle n'empruntait pas ses porte pour que la personne puisse retrouver son chemin plus tard.
Elle regarda de nouveaux la liste, mieux valait ne pas le mettre trop loin des autres... Idéalement pas trop loin de komiku... Il aurait au moins une personne qu'il connaissait pas loin.

En marchant elle regarda les oreilles de chien du garçon:

"Ma soeur m'as dit une fois que les oreilles d'animaux étaient toute douce."

Elle disait ca avec un grand sourire et cachait très bien sa gène: on réfléchis avant de parler normalement...
Elle regarda de nouveaux devant, attention, dans deux mètres, on tourne a gauche!
D’ailleurs elle entendait quelque chose courir et au moment de tourner ouvrit une porte afin de rien ne se prendre dans la figure.
La personne qui avait traversé la porte et était réapparut de l'autre coté n'avait pas été très content, mais devait reconnaître qu'il était en tort et s'en alla.
D’ailleurs il avait été avec quelqu'un d'autre, mais Eirilys ne voyait plus cette personne... Pas grave. Elle regarda par la fenêtre tout en demandant "sa va?" dans le vide. Elle s'adressait a Koge.

Koge suivit Eirilys, il n'avait pas vraiment d'autre choix après tout...Puis elle avait l'air de vouloir l'aider, elle avait prit une de ses valise ! En traversant les couloirs il prit soin de tout enregistrer...du moins ce qui voulait bien rentrer dans son cerveau. C'était grand, trop grand !

- Ma soeur m'as dit une fois que les oreilles d'animaux étaient toute douce.

Qu'est-ce qu'elles ont toutes avec les oreilles ?! Bon, ok, c'était peut-être un compliment ou quelque chose comme ça, mais tout de même, quel était cette obséssion pour les oreilles ? Et puis que voulait elle dire par là, pourquoi elle lui disait ? Elle voulait elle aussi les aggriper c'est ça ? Komi avait l'air plus disposé à ça...Koge lui ne s'était pas encore habitué à sa nouvelle apparence...C'était tout frais.

Tout à coup Eirilys ouvrit une porte pour éviter deux personnes qui arrivait vers eux. C'était moins une...Comme quoi avoir des pouvoirs c'était bien parfois...

- On dirait que tes pouvoirs on reprit du poil de la bête, c'est rassurant.

Il souria comme à son habitude. Finalement, ils arrivèrent à bon port...Très vite il reprit la valise des mains d'Eirilys. A vrai dire...son trésor se trouvait dans cette valise et c'est pourquoi il avait tant envie de la récupérer. Se rendant compte de son geste il releva la tête vers Eirilys.

- Ah...pardon. J'ai juste du mal à m'en séparer...haha...

Bref, ils étaient arrivés et Koge avait à peu près retenu le chemin...

- On dirait que tes pouvoirs on reprit du poil de la bête, c'est rassurant.

Cette remarque fit sourire Eirilys qui recommença a marcher en direction de la chambre. Ses pouvoirs seraient sans doute bientôt de nouveaux incontrôlable... Elle le devinait.
Carreau, carreau, blanc, blanc. Elle pensait les choses en double là? Non? Elle secoua la tête pour chasser l’écho et sentit Kogeinu s'emparer d'un coup de la valise. Un peu étonnée, Eirilys le regarda:

- Ah...pardon. J'ai juste du mal à m'en séparer...haha...

Eirilys cligna un peu des yeux et repondit:

"Non,non. J'aurais dut te demander avant."

Elle regarda la valise. Qu'est ce qu'il pouvait y avoir a l’intérieur? Des vêtements sans doute... Mais quoi d'autre? Des os? A cette pensée elle ricana un peu.
Non. Elle ne voyait pas. Elle ne pouvait pas tout savoir non plus...
Mais demander ne coûte rien.

"Et qu'est-ce? Ce dont tu n'arrive pas a te séparer?"

Quoique... Peut-être était-ce trop personnel? Enfin, si il voulait pas lui dire il lui dirait surement, ou changerait de sujet.

Un peu géné par son comportement il baissa la tête, il avait souvent rencontré se probleme auparavant et n'évais jamais réussi à se retenir. Cependant, cette fois il avait vraiment envie de s'exuser, est-ce que sa nouvelle apparence avait des effet sur ses sentiments aussi ? En tout cas il avait la sensation que si il ne s'escusait pas sur le champs, il dormirai dehors.

- Et qu'est-ce? Ce dont tu n'arrive pas a te séparer?

Ce n'était pas non plus la première fois qu'on lui posais cette question, il n'y avait pourtant jamais répondu. Comme si les gens ne pourrait pas comprendre. A vrai dire même lui trouvais ça ridicule au fond...Ses oreilles se baissèrent, il n'avait pas très envie de répondre à cette question et puis, on ne lui avait pas laissé le temps de se préparer. Mais il devait dire quelque chose.

- J'ai du matériel un peu fragile là dedans...et quelque chose de précieux...

Certe ce n'était pas une raison pour reprendre subitement sa valise mais il espèrait qu'elle ne se poserai pas plus question. C'était assez embarrassant de parler de sa surtout qu'il ne connaissait pas encore très bien Eirilys. Elle avait l'air gentille et digne de confience mais il aimait prendre son temps pour faire connaissance.

- J'en prend un peu trop soin peut-être...C'est pas pasque j'ai peur que tu les casse ou quoi que ce soit ! C'est juste que...j'aime bien les avoir moi...

Ces explications n'étaient pas très clair mais cela devrait suffire.

- Enfin peu importe ! Je vais pouvoir poser ça et m'installer ! Merci de m'avoir montré le chemin, j'essairai de ne pas me perdre...

Il souria. Ce pensionnant était certennement le plus étrange et le plus dangereux de tous mais, il commençait presque à le trouver chalereux et ne rejetais plus du tout l'idée d'y rester quelques temps, curieux de savoir ce qu'il pouvait cacher d'autre.

- J'ai du matériel un peu fragile là dedans...et quelque chose de précieux...

Ah... Il ne semblait pas avoir envie de répondre. Pas étonnant, on a tous nos secret. Enfin quand même... Qu'est ce qu'il pouvait bien cacher la dedans?

- J'en prend un peu trop soin peut-être...C'est pas pasque j'ai peur que tu les casse ou quoi que ce soit ! C'est juste que...j'aime bien les avoir moi...

Comme des bijoux! Il en prenait soin comme si c’était des oeufs! Et si c'en étaient?! Eirilys soupira, il avait pas intérêt a avoir quelque chose de bizarre ou d'illicite la dedans. Sinon elle aurait vite fait de le ramener sur terre. Voir en dessous.
Mais bon, il n'avait pas l'air méchant, ni dangereux, encore moins bizarre. Et puis la bizarrerie ça ne se définit pas! Si: c'est bizarre de ne pas être bizarre. Logique... Pas du tout!

- Enfin peu importe ! Je vais pouvoir poser ça et m'installer ! Merci de m'avoir montré le chemin, j'essairai de ne pas me perdre...

Cette remarque la fit sourire: le nombre de fois où elle avait repêchée des pensionnaire qui s’étaient perdue! Surtout que pour elle, c’était difficile de se perdre, il lui suffisait d'ouvrir une porte et de se rendre a l'endroit voulue. Sauf quand ses portes décidaient d'en faire des siennes, comme tout a l'heure!
Pas compliqué: elle détestait quand ses portes faisaient ça! Ne pas avoir quelque chose sous contrôle alors que ce devrait être la moindre des choses est très désagréable! Plus que désagréable: insupportable! A s'en arracher les cheveux!
Enfin, pour en revenir a la situation actuelle, Eirilys ne put s'empêcher de preciser un truc sur le pensionnat. Impossible de savoir pourquoi elle racontait ca:

"Tu sais, ici personne ne sait ce que tu est dehors. Alors tu peux faire ce que tu veux, personne ne risque de te juger."

Et pan! Pourquoi elle raconte ca elle?! Nah mais ca va pas? Elle se retourna pour repartir a ses occupation habituelle: hurler sur tout ce qui bouge...

[FINI!]