On n'as jamais vue un reflet répondre à une personne! (Eirilys & Mathilda)

Eirilys & Mathilda Satsu ♥

CRÉDIT - CSS

I

M

Si le miroir est un reflet de l'âme, alors pas étonnant que mon reflet soit vide...

A

Eirilys venait de finir la distribution du courrier... Enfin presque! Il en restait une. Et elle en avait tellement eu marre d'essayer de déchiffrer toute les enveloppe qui arrivaient dans cet établissement qu'elle s’était dit qu'une lettre disparue n’était pas si rare que ça et l'avait mise dans sa poche... Un horrible doute l'envahi. Elle essaya d'avancer en n'y pensant plus... Mais quelques mètres avaient suffit pour mettre ses nerfs a vif, lui faisant ressortir l'enveloppe, manquant de la déchirer. Elle retint un hurlement de craquage de nerfs, c'etait bien ce qu'elle avait redoutée:
non seulement cette lettre était classée urgente mais en plus elle avait été déposée a même le pensionnat... Difficile de faire croire a un courrier perdu dans ces cas là...
Elle se tapa la tête avec l'enveloppe constatant que ça avait pas du tout le même effet qu'avec les livres ou autres surface dure contre lesquels on se tapait la tête. Elle s'assit par terre le temps de ruminer des idée noire qui contenait une bonne dizaine de corde, bain d'acide, foreuse et outils en tout genre...
Elle finit par laisser tomber ses plan de vengeance contre le destinataire et se leva en essayant de déchiffrer l’écriture.
Elle essaya une minute, deux, cinq, trente... Au bout d'une heure elle se dit que c'etait même plus la peine d'essayer.

Sachant qu’énormément d'élèves se trouvaient en générale dans la salle des miroirs, elle s'y dirigea n'oubliant pas au passage de se prendre la porte qu'un élève n'avait pas jugé bon de tenir... Entrant dans la salle des miroirs elle fut surprise de n'y trouver personne. Allons bon, ils étaient en train de faire une fête a la cafeteria? Elle souffla et avanca un peu.

Si le miroir est un reflet de l'âme, alors pas étonnant que mon reflet soit vide...

Elle vit une fille au cheveux rose qui tira la langue a son propre reflet et se figea en la voyant...
Soyons honnête: en générale on tire pas la langue a son propre reflet a moins d'attendre une réponse... Et on avait beau être dans un endroit hyper bizarre, les reflets ne répondaient toujours pas!
Eirilys sourit, amusée par la fille et l'observa sous toute les coutures avant d'oser lui toucher l’épaule d'un doigt hésitant. Elle se redressa et pencha la tête sur le côté avec un grand sourire

"Tu n'as pas l'air d'un fantôme pourtant!"

Elle regarda longuement la fille.

"Et puis je ne pense pas que tu sois une coquille vide. Tu a même l'air pleine de vie!"

Elle continua de regarder la fille en souriant.

Que faisait-elle là?! Mathilda surprise, la regarda avec des yeux ronds comme des boules de billards avant de rougir, gênée d'avoir était vue et entendue. La jeune fille fut encore plus choquée lorsque la blonde lui touchas l'épaule, comme pour s'assurer qu'elle était bien vivante. Mathilda n'avait pas l'habitude des contacts physique, et elle ne pus s'empêcher de frisonner lorsque l'autre pointa son doigt sur son épaule.

"Tu n'as pas l'air d'un fantôme pourtant! Et puis je ne pense pas que tu sois une coquille vide. Tu a même l'air pleine de vie!"

Mathilda haussa un sourcil étonné, comment cette fille blonde pouvait-elle être si gentille?! Elle ne connaissait même pas la fille qui se trouvait en face d'elle, et elle se permettais de la toucher, de lui parler comme on parle à un personne que l'on connais bien, et sa, Mathilda avait du mal à le concevoir. Elle avala durement sa salive, puis la dévisagea. Il ne fallait pas prendre mal ce genre d'action. Pour elle il était normal de regarder les gens avec une telle intensité que si ces yeux avaient eu des flammes, la blonde en face d'elle se serrait retrouvée transformer en poulet rôtis.

Pourquoi est-ce que tu me parle?!

Sa non plus il ne fallait pas le prendre mal de la part de Mathilda. Elle ne voulait pas être méchante, d’ailleurs sa voix était douce et non agressive, mais elle ne maîtrisait pas correctement ses paroles et semblait souvent plus agressive qu'elle ne l'était en réalité. Puis, impatiente et ennuyée, comme toujours, Mathilda commença à regarder tout autour d'elle à la recherche d'une occupation quelconque, même si cela semblait être en vain...

Eirilys se retint de mal réagir. Non, c'etait une bonne semaine! Le miracle s’était produit et sa tante de malheur reprenait le flambeau! D’ailleurs en y repensant Eirilys se retint de hurler "Halleluja" une bonne centaine de fois tout en sautant partout. Elle se contenta de serrer les poings qui tremblait a force de se retenir de s'agiter dans tout les sens. Elle se rendit compte que ca pouvait surement sembler bizarre vu de l'exterieur et décida de se calmer une bonne fois pour toute... Elle se planta les ongles dans la peau et se retint cette fois de grimacer.

"Excuse-moi, je suis de particulièrement bonne humeur ces dernier temps et on pourrait qualifier ça de... Bizarre?"

Elle réfléchit en regardant vers le haut un doigt sur le menton. Mais rapidement elle oublia a quoi elle pensait et se perdit dans la contemplation de la salle. C’était dingue... Quand on est pas en charge d'un truc on ne remarque même plus les petits détails qui sont pourtant important. Par exemple la vitre là bas, quelque jour plus tôt elle aurait hurlée et pétée les plombs dès qu'elle serait entrée dans la salle en voyant la fissure qui parcourait le carreau. Mais là, elle avait prit une bonne dizaine de minute avant de remarquer que... Elle secoua la tête chassant toute ses idée de budget et autres de la tête. Elle remarqua que le regard de la fille devant elle était... Comment dire... Dure.

"On passe une mauvaise journée? Ou on se méfie de quelque chose et on est complètement terrorisée prête a se jeter dans un coin a lâcher les nerfs?"

Elle se serait reconnue dans les deux cas! Les mauvaise journée a force de courir partout pour réglé tel ou tel affaire; Et la méfiance, la terorisation et le craquage de nerfs quand elle venait de sortir de sa cave et qu'elle connaissait pas trop le monde qui l’entourait. Eirilys souffla, elle commençait a évacuer son passé même si parfois elle y retombait encore...

La blonde fit une drôle de tête, et Mathilda se retins de rire et de se moquer d'elle. Mais au lieu de faire quoi que se soit, elle loucha légèrement sur la fille en face d'elle et l'écoutas sagement.

"Excuse-moi, je suis de particulièrement bonne humeur ces dernier temps et on pourrait qualifier ça de... Bizarre?"

La Blondinette pris alors une pause de réflexion intense, et pendant ce temps, Mathilda eut tout le temps de l'observer. Elle avait beau paraître importante avec ses gestes étranges, elle était en fait plus petites que la fille aux cheveux roses et celle-ci constata qu'elles avaient toutes les deux les yeux de la même couleur! Elle prit alors immédiatement la blonde en affection et ne pu s'empêcher d'esquisser un petit sourire en coin. Celle-ci revint sur Terre et lui dit:

"On passe une mauvaise journée? Ou on se méfie de quelque chose et on est complètement terrorisée prête a se jeter dans un coin a lâcher les nerfs?"

Prise d'affection, Mathilda se contentas de hausser doucement les épaules plutôt que de lui cracher au visage. Puis optant pour une petite voix fluette, elle expliqua à la Blondinette:

Mauvaise journée, et je me méfie toujours des personnes en face de moi...

Elle évitas d'ajouter qu'elle avait passée une nuit horrible hantée par des cauchemars atroces. Elle voulait épargner la jeune fille blonde, mais également s'épargner de les voir resurgir avec une intensité troublante. De plus elle n'avait pas envie de s'attirer la pitié d'une autre personne, non elle avait déjà assez de Saé pour sa! Mathilda regarda alors autour d'elle, un peu gênée d'avoir autant parlée à une inconnue.

"Mauvaise journée, et je me méfie toujours des personnes en face de moi..."

Eirilys ne put s'empêcher un air blasé. Elles devaient pas avoir la même conception d'une "mauvaise" journée.
A moins qu'elle ait mal dormit, dans ce cas les journée deviennent automatiquement mauvaise... Un prince charmant peut nous demander en mariage, on peut gagner au loto, bah si on a mal dormi on aura surtout envie de se pendre a un lampadaire. Elle remarqua le regard gêné de la fille et lui prit les bras.

"On arrête les tête bizarre et on sourit! T'as pas atterrie en enfer quand même!"

Pendant un instant elle regarda sur le côté se souvenant de tout ce qui c’était passé dans le pensionnat qui l'avaient plus ou moins mit dans un état anormal. Elle regarda la fille respira un coup.

"Je retire ce que je viens de dire... Ici c'est l'enfer. Je soupçonne même la directrice de venir de la lignée de Satan..."

Elle n'avait pas dit ça uniquement parce que la directrice etait sa tante et qu'elle faisait donc partie de la même famille que sa mère... Mais surtout parce que la vieille etait pas fichu de rester a long terme s'occuper d'un pensionnat et refilait tout le boulot a sa nièce!
Elle lâcha les bras de la fille et la regarda... C’était bizarre mais cette tête lui disait quelque chose... Soudain elle écarquilla les yeux et se mit a réfléchir a voix haute:

"Mais oui! Ma... Ma... Ma... Maria... Mariane... Math... Mathilde!!"

Elle la regarda quelque seconde et reprit.

"Non,non... C'est pas ca... C'est... Maaaaaa-thiiiiii-llllld..."

Elle avait mit les doigts sur les tempes et fermait les yeux pour réfléchir. Elle avait vue cette tête dans les dossier d’inscription! Elle en était sure!

~Quiche-lorraine

[J'avais oubliée de signer ><']

La Fille pris les bras de Mathilda est cette dernière eut envie d'hurler. En effet elle n'était pas du tout tactile et avait horreur du contact physique entre deux personnes. Enfin, sa c'était quand elle connaissait la personne qui lui tripotait les bras. Mais là en l’occurrence, elle n'avait aucune idée de qui était la fille en fasse d'elle, et ça lui donnait d'horribles frisons partout sur les bras, dans le dos et sur les jambes.
Mathilda pencha la tête sur le coté sans vraiment trop comprendre. Pas l'enfer, ici? Elle se moquait de Mathilda ou quoi?! Celle ci ouvris des yeux plus rond que des soucoupes, pour elle, ici c'était pire que l'enfer!

"Je retire ce que je viens de dire... Ici c'est l'enfer. Je soupçonne même la directrice de venir de la lignée de Satan..."

Mathilda fit un petit sourire en coin. La blondinette n'avait pas totalement tort sur se coup-là! Elle se sentais un peu moins mal à l'aise, même si l'autre lui tenait toujours les bras. Alors, elle relevait la tête et la fixais sous ses longs cils avec ses grands yeux bleu.

"Mais oui! Ma... Ma... Ma... Maria... Mariane... Math... Mathilde!! Non,non... C'est pas ca... C'est... Maaaaaa-thiiiiii-llllld..."

Décidément elle ne savait pas tenir sa langue, parlait beaucoup et souvent pour rien dire. Mathilda levas les yeux aux ciel puis hocha la tête avant de lui répondre:

Je m'appelle Mathilda. Comment tu peux connaitre mon prénom?

Je m'appelle Mathilda. Comment tu peux connaitre mon prénom?

Eirilys se tut quelque secondes... Oui. Normalement on devine pas les nom de gens comme ça...
Elle regarda Mathilda et s'excusa:

"Oui c'est vrai, désolé. J'ai vue ton dossier d'inscription, j'y ai accès."

C’était bien de préciser ce genre de chose? C'est pas toujours rassurant de savoir que la personne en face de nous peux tout voir dans un dossier. Être jugé sur des papier ou un écran, rien de moins désagréable! En fait, avec un dossier elle pouvait quasiment tout savoir si elle le voulait. Mais généralement elle se contentait de regarder la photo et de vérifier deux trois détails comme l'age. En fait ça servait a rien, on acceptait n'importe qui dans cet établissement... On avait même un grande gamine de 21 ans! C’était donc pas compliqué: si vous voulez pas être prof, vous êtes élèves... Et sinon on vous engage autre part dans cet endroit. C'etait vraiment pas compliqué de venir ici.
Eirilys ouvrit une porte et en sortie le dossier de Mathilda pour le lui donner:

"c'est l'original, les copies sont dans une autre pièce. On a donc ta photo dehors et dedans."

Elle regardait pas, elle n'avait de toute façon pas traité cette inscription, juste rangé. Au bout d'un moment elle reprit le dossier et le replaça sur l’étagère qui devait l’accueillir.
Au moment de refermer la porte elle entendit un petit grondement , tourna la tête, et recula juste a temps pour ne pas finir ensevelie sous des tonnes de papier. Juste sous une demi tonne.
Elle s'en extirpa et regarda le tas d'un air blasé:

"Va falloir tout ranger du coup... La prochaine fois je prévois une pelleteuse."

Elle demanda a Mathilda si elle voulait bien l'aider.

"Oui c'est vrai, désolé. J'ai vue ton dossier d'inscription, j'y ai accès."

Comment ça elle avait accès au dossier d'inscriptions?! Mathilda fronças les sourcils, légèrement énervée que cette blondinette puis se mit à rougir. S'en était fini de son intimité. Tout le monde dans se pensionnat de Malheur allait connaitre sa vie privée dans les moindres détails. Et sa, Mathilda ne le supporterait pas. Parce qu'elle aurait affaire à des visages remplis de pitié en permanence. Parce qu'elle devrait baisser la tête devant certains regards gênant. Et sa n'en finirait pas des questions gênantes et parfois trop intimes. On l'enverrait voir un psychiatre, à qui Mathilda serrait forcée de raconter sa vie. Elle ne pouvait pas, c'était tout bonnement impossible pour elle. Blondie ouvrit une sorte de placard pas loin d'elle et lui tendis son dossier. La jeune fille aux cheveux rose l'ouvrit et plongea toute son attention dedans.

"C'est l'original, les copies sont dans une autre pièce. On a donc ta photo dehors et dedans."

Merci

Mathilda posa ses doigts sur la photo qu'elle avait prise à l'extérieur. Elle datait déjà d'un bout de temps, mais Mathilda s'en rappelais parfaitement. Elle avait fait un grand sourire dessus, sans être obligée de se forcer, car elle avait été trop heureuse d'apprendre que l'académie voulait bien d'elle. Elle n'avait jamais souris comme sa après cet instant. Au bout d'un moment, elle rendis le dossier à la blondinette en la remerciant d'un signe de tête. Quand soudainement, un grondement sourd s'échappas de derrière la porte, et tout les dossiers tombèrent. C'était pire que dans ces dessins animé ou le personnage se retrouve enseveli sous une tonne de papiers. Là, si Mathilda n'avait pas fait quelques pas en arrière, elle serrait sans doute morte, étouffée.

"Va falloir tout ranger du coup... La prochaine fois je prévois une pelleteuse."

Mathilda sourit, et, d'un signe de main, elle fit comprendre à Blondie qu'elle voulait bien l'aider. A deux, la tâche serrait plus courte, et peut-être même avec un peu de chance, plus amusante! Même si Mathilda n'en était pas totalement persuadée!

Mathilda commençait a l'aider a ranger. Mais ce n’était absolument pas pratique de placer des documents sur des étagères a travers un porte. Eirilys décida de les faire tomber directement dans la pièce. Sans préavis bien évidement! D'ailleurs elle même se cassa la figure sur la pile de documents.
A-B c'est ici... C-D... C’était où?! Elle retrouvais plus l'emplacement pour les lettres C et D!
Ah si... Elle étaient là. Elle eut un petit rire nerveux.
Eirilys regarda Mathilda...

"Ca t'arrive de ne pas faire une aura dépressive?"

Elle regarda a nouveaux la pile de dossier au sol. Réfléchit a la bêtise qu'elle venait de dire et s'excusa:

"Ca me regarde pas, pardon."

A n'avoir put poser de question a personne durant des années, a ne pouvoir apprendre a connaitre les gens, elle ne savait pas vraiment quel question on posait et quels questions il ne fallait surtout pas poser.
Elle oubliait même parfois que certaines remarques ne se font tout simplement pas.
Mais elle trouvait qu'elle s’était plutôt bien recalée sur ce monde... Enfin, autant que possible....
Il y avait des expériences qu'elle n'avait jamais vécue, des choses dont elle n'avait jamais entendue parler, énormément d’évènement qu'elle avait ratée... Et lorsque les gens parlaient de "films", "musique", "livres"... Elle n'y connaissait rien et se ressoudait souvent a partir fire autre chose.
Mais en réalité, ce ne serait pas si compliqué: il suffisait de prendre un peu de temps, de sortir et... Ca se ferait presque tout seul.
Mais dehors, elle ne connaissait personne, dedans, elle ne les connaissait pas bien, et elle avait de toute façon peur de sortir...
Alors le problème était réglé.

Le temps de penser a tout ca elles avaient fini de ranger les documents. Elle se tourna de nouveaux vers Mathilda et lui sourit:

"Merci beaucoup! Ca te dit d'aller a la Cafétéria?"

Comme ça... C’était sortie tout seul... Surement parce qu'elle avait faim et soif un peu. En même temps, c’était l'heure de manger. Et la Cafétéria avait la qualité d'un restaurant... C’était d’ailleurs presque le même principe.

La blondinette avait sans doute raison. Tandis que Mathilda l'aidait à ranger les dossiers, cherchant les lettres, elle avait beau être occupée, elle sentait le regard de la blonde sur elle, et, lorsqu'elle l'entendis luis dire "Ca t'arrive de ne pas faire une aura dépressive?" elle ne pu s'empêcher de ravaler sa salive. Bien sur elle le savait qu'elle n'était pas très souriante, mais tout de même, elle ne tirait pas non plus une tête d'enterrement! Enfin, elle était juste "normale"!

"Ca me regarde pas, pardon."

Mathilda la dévisageas. Non elle n'avait pas tord d'un coté puisqu'après tout, Mathilda savait parfaitement qu'elle ne souriait jamais. Elle regarda la blonde et lui dit:

T'excuse pas, t'a pas si tord que sa...

Puis, elle se replongeas dans le rangement des documents, devenant à nouveaux muette. Mathilda n'aimait pas parler inutilement aussi elle ne pris pas la peine d'engager la conversation et donc de combler un vide important. Non, elle se contentas simplement d'aider Eirylys pour lui rendre ce léger service. Après tout, elle n'avait qu'une parole... Au bout d'un moment, elle se stoppa ce rendant compte qu'elles avaient déjà terminées:

"Merci beaucoup! Ca te dit d'aller a la Cafétéria?"

Mathilda hochas la tête, et, en essayant de sourire -chose peu facile pour elle- elle murmura:

Oui!

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