Faite là de cire et de pierre, de cire, et de pierre, Faite là de cire et de pierre, Ma douce Lady

Mathilda était arrivée au Pensionnat depuis maintenant un bon mois, mais elle ne c'était pourtant pas totalement faite des amies, ou même des amis. Seulement quelques connaissances si l'on ne comptait pas Eirylys et Sae. Ce matin, elle s'était levée avec l'optique de ce faire plus de rencontres, et donc d'être plus sociable! C'était donc très tôt qu'elle était sortie de son lit, avant de courir à la salle de bain pour prendre une douche chaude et rassurante. Longtemps elle avait fait couler l'eau brûlante sur son dos. Puis, lorsqu'elle eu terminée, elle s'était empressée de sortir de la baignoire, de se sécher, et de s'habiller avec ces vêtements favoris. C'était en fait une robe brune qui lui arrivait aux genoux et qu'elle portait avec des bottes hautes. Elle séchas ses longs cheveux rose, puis, prenant quelques une de ces marionnettes avec elle.

Depuis quelques temps maintenant elle savait parfaitement contrôler ces marionnettes sans même y penser, et elle avait pris une préférence pour les poupées de porcelaines qui étaient maintenant ses accessoires favoris. Elle quitta sa chambre et d'un pas léger, elle se dirigeas vers la Bibliothèque, les bras remplis de poupées. Elle se mit à chantonner son air favoris, et, évitas de le faire trop fort pour ne pas paraître totalement folle. Lorsqu'elle arrivas enfin devant la bibliothèque, elle entre-ouvrit la porte et, posant ces marionnettes au sol, et se concentras fortement en plissant des yeux. Soudains, les trois marionnettes se redressèrent brusquement, et, elles s’élancèrent dans la bibliothèques silencieusement, mais activement. Si Mathilda faisait tout sa, c'était à la fois pour s’entraîner, mais aussi pour éviter de chercher pendant des heures un bon livre à lire. Ces poupées allez lui trouve son livre, elle en était sure.

Elle s'assit donc à une table, patientant pour obtenir un bon livre. Elle ne ferma les yeux que quelques secondes, mais lorsqu'elle les ré-ouvrit, tirée de sa somnolence par un grincement de chaise, elle se sentis fatiguée, comme si elle avait dormis une heure. Elle redressa la tête et regarda un jeune homme, un peu plus loin. Tiens! Et pourquoi pas un nouvel ami!