Presentation d'Eirilys [FINI]

Dans le pensionnat, Eirilys et une jeune fille, assez grande, blonde au yeux bleu. Autant vous dire, qu'elle fait partie de ces "idéaux féminin". Une mèche parcours son visage sans cacher quoi que ce soit, ni son nez, ni sa bouche ou encore son œil.
Ses couleurs préféré étant le jaune et le noir, ses habit sont toujours dans ces deux ton. Elle est aussi recouverte de bracelet, de ruban et autres bijoux de toute sorte.
Eirilys porte toujours un casque avec lequel elle écoute de la musique, plus ou moins en rapport avec les situation. En fait, elle écoute tellement de musique que l'on ne sait pas quand elle l'enlève. Elle a d’ailleurs un CD accrocher a sa ceinture, sur une jupe qui, a l’exception du reste, est jaune et blanc.
Jamais elle n'attache ses cheveux, car elle préfère les laisser voler au gré du vent, mais surtout car elle en a pris l'habitude dans sa forme réel.

Ce qui est etrange, c'est Eirilys porte un masque en dehors du pensionnat et pas dedans. C'est presque le contraire qui devrait être... Ce masque est blanc et est recouvert de rayure noir. Elle ne le retire jamais, même pas pour dormir ou pour manger. Il arrive que ce masque se fissure, et pourtant, pour une raison inconnue, il se répare tout seul.
La raison qui la pousse a porter ce masque? Elle ne s'en souvient plus... Elle rêve pourtant de pouvoir l'arracher et dévoiler son visage, mais l'horreur qui pourrait apparaitre... Il paraitrait pourtant qu'elle soit belle, un des indices sont ces yeux bleu comme l’océan qui ressortent du blanc/noir de son masque. Mais demandez lui ce qui se cache en dessous et elle vous enverra balader.
Sinon, elle s'habille de façon tout a fait normale... Enfin, dans la mesure ou porter un masque est normal. Je sais... je dois être lourde a parler de ce masque, mais c'est bien la chose qui marque le plus lorsqu'on la voit. Ne pas savoir ce qui se trouve en dessous est frustrant pour certain! C'est d’ailleurs un défi que se lancent bien des personne: savoir ce qui se cache en dessous!

Eirilys est compliquée a comprendre. On pourrait croire qu'elle embête les gens par pure plaisir, mais en fait,non. Elle a "juste" besoins de se défouler pour décharger tout ce qui c'est passé.
Ce qu'elle ne supporte pas, c'est qu'on lui fasse une remarque a propos de ce fameux masque. Cette chose lui pourri la vie!
Eirilys peut parfois changer d’émotion en un coup. Ça vient du fait que parfois pour détendre l'atmosphère ils faisaient des blagues, mais quand leur mère arrivait la joie disparaissait. Elle en a perdu la notion de la "bonne" humeur, mais elle commence a se reprendre.
Elle aime pas être jugée. Non-pas qu'elle soit orgueilleuse, mais le regard du jugement, elle le connait par cœur et en assez de le voir dans le regard profond que peut porter une personne sur elle.
En realité, Eirilys n'embête pas tant les gens que ça, c'est surtout que lorsqu'elle a trouver le point faible de quelqu'un, elle l'utilise a tout bout de champs.

-Oh! regardez! C'est une fille!
-Que voulez vous que ça me fasse?

Voilà les premier mots qui furent prononcer a sa naissance... Bien que choquée, les sages femmes présentes ne dirent plus rien et se contentèrent de faire leur travail. Mais si elles avaient su ce qui arriverait a l'enfant, elle ne l'aurait jamais laisser aux mains de la mère.

Elle jouait bien la comédie! A peine avait-elle passée l’immense porte décorée d'or et d'argent qu'elle arbora une faux-sourire en tenant le bébé dans ses bras. Elle se dirigea vers son mari pour lui montrer le "beau" bébé qui contenait un peu de lui, un peu d'elle. Un étranger aurait été persuadé qu’il s'agissait d'un simple couple heureux.
La réalité était bien plus complexe. L'homme ne se doutait de rien, mais sa femme était une manipulatrice qui voulait simplement toucher l’héritage de son mari. Il fallait dire qu'il n’était pas des moindre! Plusieurs luxueuse maison, des entreprise qui marchaient a la perfection, des bonnes a n'en plus pouvoir! Et parlons de pouvoir justement! Le mari était l'un des plus riches du monde! Elle faisait donc partie des élites! Mais ce plan parfait contenait une faille: cet homme adorait les histoire d'amour parfaite! Il fallait donc qu'elle trouve toujours un moyen d’attiser sa flamme.
Et ce moyen était justement d'avoir des enfant! Ces petit être fragile en réalité la répugnait, elle les détestait!
Mais lui, lui trouvait ça si mignon! Raaaah! Mais que ne ferait-on pas pour l'argent?

Ces enfants, elle en avait 5 justement, la plus grande avait 11 ans, les cadet, deux jumelles, avaient 9 ans, une plus petite encore, avait 3 ans et la benjamine, qui venait tout juste de naitre, avait quelques jours seulement.

Lorsque la mère l'apporta dans la chambre des enfants, elle leur adressa a peine un regard, mais elle indique rapidement le prénom de la petite avant de sortir en claquant la porte:

-Elle s'appelle Eirilys! Votre père donne des noms vraiment idiot a ses enfant! Pfiouuu

Lorsqu'elle fut sortie les enfants se précipitèrent sur le berceau et l'ainée la prit dans ses bras:

-Ma pauvre! En naissant tu ne sais pas dans quelle galère tu t'est embarquée!
-Tu crois vraiment qu'elle comprends ce que tu raconte?
-Nan, mais au moins elle pourra pas dire que je l'ai pas prévenue!, fit-elle avec un grand sourire.

3 année passèrent, Eirilys était très affectueuse mais n'arrivait pas a se contenter de l'amour de ses frères et sœur. Elle essaya plusieurs fois de s'approcher de sa mère, mais a chaque fois elle se prenait une majestueuse baffe qui aurait pu lui éclater la joue si la femme n'avait pas été terrorisée a l'idée que son mari apprenne qu'elle déteste ses enfant. Il se posait déjà suffisamment de question sur les quelque blessures qu'ils avaient de temps en temps! Et trouver des excuse était de plus en plus difficile.

Un jour, cette femme revint a la maison, toute joyeuse, le parapluie taché de sang. L'ainée, qui avait alors 14 ans, lui demanda ce qu'il se passait. Elle redoutait le pire! Sa mère lui répondit purement et simplement:

-Votre père est mort...

La terreur sur le visage, l'ainée retourna dans la chambre. Elle respirait bruyamment. Pas besoins de réfléchir longtemps avant de comprendre que c’était... cette... Qui l'avait tuée. Quand ses petite sœur et son frère la regardèrent aussi étrangement, elle se contenta de sourire et de fondre en larme.
Il ne fallu que quelque jours pour démolir le statu quo de la maison. Leur mère fit construire une "chambre" sous terre au fond du jardin et y déménagea les enfants. Elle fit courir le bruit qu'ils étaient mort dans un accident de voitures, et fit d'une pierre deux coups: non seulement elle était débarrassée de son mari, et grâce a la fausse mort de ses enfants elle récupérait tout l’héritage! Enfin.. Pas tout! Une vieille femme du nom de Baba Obola reçu pour héritage des plan pour un bâtiments appelée "Pensionnat miroir". Mais, la "mère" s'en fichait, elle avait l'argent! Et c’était tout ce qui comptait! Elle alla régulièrement voir ses enfant pour leur faire subir les pires choses.

Les année passèrent, 5 exactement, et elle n'avait toujours pas eut pitiés, voir assez d'eux. Mais elle réfléchissait: Si un jour ces enfants s’échappaient et se faisait connaitre? Il fallait a tout prit éviter ça, mais elle ne pouvait faire installer un système de sécurité ou elle attirerait l'attention... Nan, il fallait mieux: il fallait leur coudre un masque!
Elle acheta tout le matériel nécessaire et se mit au travail. Elles les endormie tous a l'aide de poudre dans la nourriture et entraina en première l'ainée dans une petite pièce a part. A peine celle-ci ouvrit-elle les yeux, qu'un cri de douleur lui échappa. Elle avait mal, elle avait mal tout autour du visage, elle ne pouvait décrire la douleur, mais sa tirait et allait arracher sa peau avec. Elle porta une main a son visage, c’était froid et lisse. Elle glissa sa main jusqu'au cou et sentit une chose fluide, chaude... Elle regarda: c’était du sang. Rapidement elle compris: leur mère lui avait cousu un masque sur le visage... Mais pour quoi faire?! Peut après ça recommença, puis encore et encore et encore... Jusqu’à ce que ce soit au tour d'Eirilys, qui n’échappa pas a la règle.

Suite a cela, les soeur et le frère d'Eirilys moururent les un après les autres d'infection dut au masques.
Eirilys, était assise a coté du cadavre de l'une de ses sœur, la dernière qui lui restait, quand sa mère rentra:

-Encore! Mais ça tombe comme les mouches ces derniers temps, tu ne trouve pas?, lui lança t-elle ironiquement

Eirilys ne répondit pas, elle était terrorisée, elle était désormais seule a supportée les accès de colère de sa mère. Elle attendait, jour et nuit, dans le noir et la peur, que cette femme vienne assouvir ses accès de sadisme.
Dans le noir, elle ne pouvait que sentir ses blessures, les effleurer... Cette situation durât près de 4 ans... Un jour sa mère entra et l'entendit pleurer:
-Eh bien! Toujours vivante a ce que je vois! Montre moi ton visage?, elle prit le menton de sa fille entre les doigts et regarda le contour du masque. Elle sourit.Elle lâcha sa tête, et les larmes de sa fille continuaient de couler le long du masques...
-Je vois que ta peau commence a pousser sur les contour du masque. Ton corps l'accepte, il fait partie de toi. Mais je suis pas venue disserter anatomie. Quoique... D'un certain point de vue... , Elle sortie un rouleau d’adhésif marron de sa poche et le lui montra d'un air menaçant, je vais tenter une expérience!

Elle prit sa fille et l'attacha de sorte qu'elle ne puisse plus bouger, puis elle commença a appliquer lentement le scotch sur les ouvertures du masques, d'abord sur les yeux, puis sur la bouche, mais au moment ou elle alla appliquer la sentence sur le nez, elle s’arrêtât et dit

-Ne t'inquiète finalement je ne vais te couper complétement le souffle... Tes larme suffiront a te noyer.
Mais tu ne pleurs pas assez pour ça... Voyons... Je vais t'arroser, ça sera plus amusant!

Elle sortit et prit un arrosoirs qu'elle remplie d'eau et le versa sur la tête d'Eirilys, l'eau y pénétra et Eirilys aurait manquée de se noyée, si il n'y avait pas eut des sortie pour l'eau. Elle essayait aussi de boire l'eau qui s'infiltrait, mais la surface collante de l’adhésif empêchait ses lèvres de s'ouvrir. Une demi-heure plus tard, qui semblèrent une éternité pour Eirilys. Sa mère arrêtât. Elle se leva et lui expliqua rapidement le programme:

-Je reviens demain pour t’enlever l’adhésif, si je ne suis pas trop occupée. Bonne nuit! Rajouta -elle d'un ton sarcastique.
Durant la nuit, Eirilys réussit a défaire les lien. Elle se debarrassa tant bien que mal des ruban adhésif et de l'eau dans le masque. Mais en traversant le jardin, elle tomba sur sa mère qui la rattrapa par les cheveux et la tira en arrière d'un coup sec.


-Mais ma pauvre petite... Tu voulais t'enfuir c'est ça?
Sous le coup du désespoir Eirilys fit non de la tête, des larmes de douleur commençait a apparaitre au coin de son œil.
-Tu voulais reprendre ton héritage c'est ça!?
Sa fille ne fit que se débattre, c’était du moins tout ce qu'elle dessellait dans ces mouvement de tête de droite a gauche.
-Tu sais ce qui va t'arriver?!, hurla t-elle
Eirilys eut des petit hoqueton de désespoir. Elle essaya de parler mais elle n'osait pas.

Son bourreau la traina jusque dans une voiture et la conduisit jusqu’à la prochaine soufflerie de verre. C’était la plus proche de la maison, et elle appartenait a cette femme. Elle fit chauffer du verre autour d'un des tubes et menaça sa fille avec.

-Ceci est un piège ma jolie! Tu vois le four derrière toi? Si tu t'en approche trop tu mourra, mais je peut aussi te tuer avec cette superbe lance de verre chauffée a blanc! Alors? Que choisis-tu?

Eirilys recula d'un pas et prit la première chose qu'elle trouva, c’était un tube de métal qui permettait de souffler du verre justement. Elle le balança en diagonale en direction des jambes de sa mère. Mouvement désespéré qui lui valut la victoire. Sa mère perdit l’équilibre et sa tête tomba dans...Le four derrière elle... Eirilys détourna les yeux, c’était vraiment trop horrible a voir. Elle laissa le soin au ouvrier de la verrerie de découvrir le cadavre et retourna dans la maison.
Elle entra discrètement et alla au bureau de sa mère. Elle fouilla tout les papier a la recherche d'un endroit ou aller. En pleine fouille, elle s’arrêtât. Elle se rappelait d'un nom qu'elle avait entendu quelque part. C’était... Baba Obola! D'après ce qu'elle savait ce serait sa tante ou grande tante... Elle chercha l'adresse de celle-ci et se présenta chez elle.

Elle raconta toute son histoire a cette tante et celle-ci lui proposa de rester le temps qu'elle trouvait quelque chose d’adéquat.
Après une nuit de sommeil dans un bon lit, Eirilys se sentit reposée. Elle décida de sortir. Elle fit là une grosse erreur.
A peine sortie, elle se sentie déjà comme transpercée, une énorme boule au ventre. Elle avait oubliée la réaction des gens face a un masque aussi étrange, disons qu'elle ne connaissait même pas! Elle rampât de rue en rue se sentant observée sous toute les couture. Elle tremblait presque... Quelque temps après, elle retourna dans sa chambre. Totalement traumatisée par ces regards. Lorsque sa tante lui apprit qu'elle devait allée a l’école tout les jours, ce fut la fin des haricots (magique) pour elle. Elle se laissa tombée sur le lit et ne dormit pas de la nuit tant elle stressait a l'idée de ces journées entourées de regard perçant.

En réalité, lorsqu'elle arriva, tout d'abord on la dévisagea, puis elle entra dans un groupe d'ami. Elle eut même des admirateur mystérieux. Au fil des jours, elle remarqua aussi un étrange bâtiment qui poussait dans la ville. Elle découvrit un jour qu'il appartenait a sa tante. Elle demanda si elle pouvait y aller. Sa tante n'y vit aucun problème.

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Elle se retrouva devant un grand miroir, elle avait cherchée partout, mais il semblait que c’était la seule entrée possible... Baba s’était bien gardée de lui indiquer l'entrée! Elle soupira et fonça dans le miroir! Lorsqu'elle l'eut traversé, elle regarda autour d'elle: il y avait plein de miroir! Soudain, elle vit quelque chose la regarder, elle s’approchât et... C'ETAIT SON REFLET! Sur le coup, elle fut sous le choc, elle ne s’était jamais vue! Elle restât des heures a se regarder. Elle se tata les joue, elle sentait quelque chose de doux, de moelleux et chaud. C’était bien trop beau pour être vrai! Elle se regarda et vit qu'elle n'avait plus de cicatrice! Mais quelque chose d'autre avait changer, elle se sentait comme reliée au delà de cet espace. Elle essaya de sentir d'où ça venait et, a sa grande surprise, un disque noir s'ouvrit devant ses yeux. Elle plongea sa main dedans mais sentit rapidement que ce monde la refusait et l'attaquait. Elle retira tout de suite sa main et referma la porte. Une fois fait elle prit enfin la peine de savourer le bâtiment du pensionnat miroir. Était-elle la première pensionnaire?